PNJ Puissant et majestueux
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| Sujet: Examen d'Italie Sud Lun 4 Avr - 23:42 | |
| Voici l'examen d'Italie du Sud, qui a également réussi son ptit test, et accède donc au cycle Avancé. J'aurais aimé pouvoir faire l'event en tandem avec les deux Italie, mais l'organisation s'est avérée hyper ardue. Donc voici l'examen d'Italie, et je lettrai le plan dès que j'aurais le temps. - Spoiler:
<Moustachu> *le surveillant amène Lovino devant la porte de la salle d'examen, et l'y laisse* <Lovino> *frappe à la porte* <Dirlo> *Attends l'Italien assis dans sa chaise a moitié dans l'ombre come d'habitude. Pas de buget sur l'éclairage.* Entrez. <Moustachu> *est auprès du Dirlo* <Lovino> *respire un bon coups pour évacuer le stress et rentre* Bonjour <Moustachu> *salut l'italien d'un signe de tête, gardant le silence* <Dirlo> *Désigne la chaise au milieu de la pièce, à peu près la seule chose éclairé de la pièce.* Assoyez-vous. <Lovino> *referme la porte derrière lui avant d'avancer de se mettre sur la chaise* <Dirlo> Votre examen de passage de niveau va maintenant commencer. *Jete un oeil au Moustachu* <Lovino> D'accord ..... <Moustachu> *Au signe du Directeur, s'approche de Lovino. Il place en face de lui un petit diapason* M. Vargas, je vais vous demander de fixer intensément le métronome, dès qu il sera en route. Vous allez écouter ma voix... Quand vous ne l'entendrez plus, votre examen commencera. LAissez vous aller, ne résistez pas. Entendu ? <Lovino> *Hoche la tête et zieutte l'instrument* <Moustachu> *met le métronome en route, celui ci se balance, tic tic tic... tic ... tic... tic...* Détendez vous, pensez à l'Italie. Lorsque vous aurez envie de fermer les yeux, faites le. <Lovino> *suit le métronome du regard tout en repenssant à chez lui* <Moustachu> *tic... tic... tic... droite... gauche... droite... gauche... tic... tic...* Quand vous vus sentirez fatigué, fermez les yeux et laisser vous aller. Si vous avez envie de dormir, dormez. <Lovino> *commence à fermer les yeux avant qu'ils ne soient completement clos* <Moustachu> *la voix s'atténue un petit peu, elle semble venir de plus loin maintenant. Lovino peu avoir l'impression de ressentir de la chaleur, ainsi qu'une odeur très ténue de nature au soleil* <Moustachu> peut* è_é) <Lovino> *a l'impression d'être en été avec la bonne odeur du pays, sourit* <Moustachu> *la voix est encore plus faible, accompagnée du tic... tic... tic... qui semble venir de très loin* ... endormez vous. <Lovino> ......... *dort * <Dirlo> *regarde le tout les mains croisé, le menton accoté sur ses doigts* <Moustachu> *L'odeur particulière aux terres ensoleillées se fait maintenant beaucoup plus forte, et Lovino peut réellement sentir sur sa peau les rayons du soleil. Une voix féminine appelle* Seigneur Vargas, seigneur Vargas ! <Lovino> *Se retourne vers la voix* Q...Qu'est ce qu'il y a? <Moustachu> *une très jeune fille vetue d'une longue robe claire médiévale se trouve devant Lovino* Oh, Seigneur Vargas, vous vous êtes endormi sur les marches de l'église ! Mon père vous cherche partout ! *elle rit d'un joli rire tout frais. En effet, Lovino peut voir qu'il est assis sur les marches d'une prestigieuse église.* <Lovino> *regarde autours de lui, une église? * D'accord je viens *se lève puis s'étire* C'est bon maintenant *est prêt à la suivre* <Moustachu> *La jeune fille s'empare alors de son bras avec une candide familiarité ; elle est vraiment très jeune. Lovino peut voir, alors qu'elle l'entraine, que l'église où il était se trouve être la chapelle d'un très grand château. Les gens qu il croise sont tous vêtu de façon médiévale. Instinctivement, il sait qu'il se trouve en Sicile.* <Lovino> *Regarde autours en souriant un peu pendant qu'elle le traine , la Sicile* <Moustachu> *la jeune fille le fait entrer dans une grande salle décorée de lourdes tentures, peuplée d'une vingtaine de personnes, donc, au centre, un petit homme replet. La jeune fille salue cérémonieusement le petit homme* J'ai trouvé le seigneur Vargas, Votre Altesse, il n'avait pas fini de prier pour ajourd'hui, je crois ! *l'homme fait signe à Lovino de le rejoindre* <Lovino> *S'approche de l'homme avant le saluer poliment* <Moustachu> *l'homme s'adresse à Lovino* Je suis embêté, mon cher. La population de Sicile est intenable. Voilà qu'à présent, j'entends des rumeurs d'une révolte imminente contre moi, Charles d'Anjou ! *nous sommes en 1282, et la Sicile est gouvernée par un roi d'ascendance franco-espagnole* <Lovino> *1282.... les vêpres siciliennes?!* Et vous voulez régler cette affaire c'est bien ça? <Moustachu> C'est vous qui allez vous en charger. <Lovino> Comment?! <Moustachu> *le roi a un geste ennuyé* Prenez autant de soldats qu'il le faudra, et s'il faut massacrer la moitié de l'île pour dresser l'autre moitié, faites-le. *là dessus, le roi lui adresse un signe de tête, et quitte la salle. Il ne reste qu'un tout petit garçon dans un coin, qui regarde Lovino avec de très grands yeux* <Lovino> *serre le poing avant de remarquer le petiot* Qu'est ce qu'il y a ? <Moustachu> *Le petit garçon s'approche craintivement de Lovino* ... Tu vas tuer tout le monde ? <Lovino> *secoue la tête* Non ..... <Moustachu> Alors tu vas désobéir au roi ? <Lovino> *se sent mal* Je le voudrais bien <Moustachu> Mon papa n'aime pas le roi. *le petit garçon le regarde avec de grands yeux noirs, et lui fait un sourire* Tu préfères venir avec moi, ou rester ici ? <Lovino> *lui prend une main* J'viens avec toi <Dirlo> *Observe les réactions* <Moustachu> *Le petit garçon fait un grand sourire, et tire alors Lovino hors de la pièce, en direction de l'extérieur. Mais au lieu de se retrouver dans la cour ensoleillée du chateau, dès qu'il sort, Lovino se retrouve en compagnie d'une dizaine d'hommes robustes bâtis comme des paysans, dans une petite maison. Par la fenêtre, on peut voir l'aube poindre* <Lovino> *Se laisse tirer puis se retrouve dans la maison où il observe chaque personne l'une après l'autre* <Moustachu> *Lovino a toujours le petit garçon pendu à la main. Un homme l'interpelle* Es tu bien sûr de ton choix ? Te rallies tu à la cause du peuple de Sucile ? <Lovino> *Hoche la tête bien déterminé* Oui! <Moustachu> Alors partons. *tout le monde sort de la maison alors que le jour se lève. Nous sommes le jour de Pâques Le petit garçon tire Lovino par la main, à travers la foule qui se dirige vers l'église. Les troupes françaises les surveillent, menés par un homme qui ressemble énormément à Francis* <Lovino> *Les suit * ... *Voit Francis ou son sosie* Ghu! <Moustachu> *Le sosie de Francis interpelle Lovino* Hé, toi ! A quoi joues-tu, Italie ? La Sicile a besoin de moi ! <Lovino> Non! Elle n'en a pas besoin! <Moustachu> *Autour de Lovino, les hommes s'agitent, répétant ses paroles* Elle n'en a pas besoin ! Attaquons les ! Chassons les ! Que les français meurent ! *l'un d'eux pose la main sur le bras de Lovino* Nous attendons tes instructions. <Lovino> *Regarde l'homme puis le petit , mal à l'aise* <Moustachu> *la foule gronde autour de Lovino, mais se contient. Le sosie de Francis reprend* Tu sais bien ce qu'il en est, Italie ! Fais les renoncer, qu'ils se soumettent ! <Lovino> *écoute* S'ils renoncent maintenant, ils le referront plus tard alors... <Dirlo> *Hausse un sourcil* <Moustachu> *Francis, ou son sosie, ajoute* Fais les renoncer, car maintenant ou plus tard, nous écraserons la Sicile au moindre mouvement de révolte ! Telle est la volonté du roi. <Lovino> *serre les poings puis se retourne vers les autres* Allez y <Moustachu> *aussitôt, les paysans se précipitent sur la maigre troupe française. Maigre mais armée. La bataille s'engage aux alentours de l'église. Une douleur terrible traverse Lovino, qui ressent chaque blessure de chaque homme dans sa propre chair* <Lovino> *se plie en deux tout en criant sentant la douleur provoquée par les armes* <Moustachu> *Si ça peut le consoler, Francis, à quelque disance, n'est pas en meilleur état. Mais à la douleur physique s'ajoute maintenant une rage de vaincre. Les hurlements guerriers qui vrillent le cerveau endolori de Lovino lui semblent être poussé par lui-même ainsi que par des centaines d'autres. Le petit garçon le tire par le bras et lui donne une arbalète, puis pointe Francis* <Dirlo> *Fixe* <Lovino> *se fait trainé plus loin et ...... le petit lui donne une arbalète qu'il prend avant de voir ce.... plutôt qui il pointe* <Moustachu> Fais les partir *lui dit l'enfant* <Moustachu> Non ! *glapit Francis* Tu vas me casser un ongle !!!) <Moustachu> pardon j ai pas pu m epêcher xD) <Lovino> XDDD) <Lovino> Hum..... *prend bien l'arme et se met en position pour tirer* <Moustachu> *la douleur qui le traverse se fait un peu moins sourde. Les échos très proches de la bataille vibrent dans sa tête, empreints de cette même rage. Les Siciliens ont le dessus, il peut le ressentir, au delà de la douleur* <Dirlo> xDD) <Lovino> *sourit un peu que les siciliens aient le dessus avant de pointer l'arbalète sur Francis* <Moustachu> Tire ! *dit le petit garçon. Les yeux noirs de l'enfants deviennent verts, brillant dans son visage mate encadré de cheveux noirs* <Lovino> *Appuie sur le mécanisme qui met en marche l'arme avec le carreau qui part à ce moment* <Moustachu> *Francis, ou plutot son sosie, est droit dans la ligne de mire. Cependant, la jeune princesse se jette alors sur France, et c'est elle qui recoit le carreau, s'effondrant dans les bras de Francis. Celui-ci soulève alors le corps inerte, et recule sur quelques pas, avant de disparaître.* <Lovino> *laisse tomber l'arbalète à ses pieds s'en voulant que se soit la princesse qui est reçu le projectile* <Moustachu> *Le petit garçon reprend doucement l'arbalète des mains de Lovino. Après ses yeux devenus verts, c'est sa taille qui a augmenté. C'est Espagne, ou plutôt son sosie. Il fait un signe approbateur à Lovino, et lui murmure* La sicile est encore loin de son objectif, mais tu as agi comme il le fallait en ouvrant la voie. Je serai là, si ton peuple en a besoin. *une fois ces mots prononcés, Espagne <Moustachu> reculme aussi, et disparait.* <Moustachu> *enfin, il ramasse le truc plutôt. * <Lovino> *équarquille les yeux* To..... Tonio? *le voit partir avec l'arbalète* <Moustachu> *la douleur s'atténue un peu, mais elle reste lancinante. Les voix des siciliens blessés mais victorieux semblent de plus en plus lointaines. Celle de l'hypnotiseur se fait entendre, faible d'abord, puis de plus en plus forte* ... M. Vargas, vous pouvez à présent revenir auprès de nous, à l'Académie. Dès que vous êtes prêt à ouvrir les yeux, vous le ferez. <Lovino> *Commence à ouvrir difficilement les yeux* <Dirlo> *attends que Lovino soit complètement réveillé* <Moustachu> *Lovino est de retour dans la salle d'examen. En voyant qu il ales yeux ouverts, l'homme arrête le tic tic, et se met dans un coin* <Lovino> *ouvre entièrement les yeux* <Dirlo> *Fixe l'Italien* <Lovino> *se remet bien assis sur la chaise attendant le verdict* <Dirlo> Qu'avez-vous appris de ce souvenir ? <Lovino> que.... qu'il faut se battre pour le bien de la population qu'on représente même si on doit en souffrir *hésitant* <Dirlo> *Sourit et hoche de la tête* Bravo Mr. Vargas. vous montez de noveau. <Dirlo> *niveau )) <Moustachu> \o/) <Lovino> M.....Merci
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