✯ Académie Hetalia ✯
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 J'ai réussit! j'ai réussit! j'ai *BOOOOM* ...ah bah non...

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Slovénie/D.Črv
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MessageSujet: J'ai réussit! j'ai réussit! j'ai *BOOOOM* ...ah bah non...   J'ai réussit! j'ai réussit! j'ai *BOOOOM* ...ah bah non... Icon_minitimeMer 29 Déc - 13:23

J'ai réussit! j'ai réussit! j'ai *BOOOOM* ...ah bah non... 451866001293643541
    MOUA! La Slovénie!

    Nom : NOM, Prénom ČRV D. Oui bon, d’accord, dit comme ça, c’est pas forcément très clair alors… Nom : Črv / prénom : D.
    *Non, n’est pas du tout embêtant avec un nom imprononçable et un prénom trop court… en plus, ça manque de voyelle*
    Surnoms :J’en ai pas mais essayez de trouver un diminutif avec un prénom pareil MOUAHAHAHA
    Âge : 459 813 445 ! Ah nan, ça c’est le nombre de mes expériences ce mois-ci… *Cherche dans un carnet* Ah, c’est marqué là ! J’ai 16 ans.
    Sexe : Bah Garçon…pourquoi, ça se voit pas ? Si tu me le demande, c’est que t’as peut-être des problèmes de vue… Laisse-moi t’examiner, je vais inventer un produit qui réglera ce problème.
    Anniversaire : 25 juin, jour de mon indépendance.
    Orientation Sexuelle : Je n’aime que la science et la science m’aime aussi *BOOM*
    Niveau Scolaire : Niveau 100 ! Je sais, je suis très fort. C’est le niveau maximum pour un pokémon… Ah ? c’était pas ça la question ? *relis* ah, niveau secondaire…

    Vous voulez me connaître un peu plus?



Pays que vous représentez : La Slovénie, et j'en est fière :D
Langues que vous parlez : L’Anglais, ça peut être utile. Sinon, l’italien, l’allemand et évidemment, le slovène.


Histoire Personnelle : cf post suivant sinon, ça risque de faire beaucoup...


Famille : [i] J’en ai pas :D



Vous avez l’air de quoi ?
De quoi il a l'air ? D'un scientifique, bien sûr ! Mais comme tout bon scientifique, il faut être plus précis que ça. Alors voilà à quoi ressemble notre Slovène

Aloooors. Commençons par le commencement. C'est une bonne idée. Donc, commençons par la taille. D. n'est pas très grand, sans être miniature... il est de taille moyenne quoi. Assez mince, il a la silhouette idéale pour se faufiler un peu partout tout en pouvant atteindre des objets placés assez haut. Vu comme ça, il n'est pas très effrayant (sauf quand il fait son rire de savant fou, mais passons). C'est pas lui qui vous fera sortir de la salle en hurlant de terreur juste en étant là, quoi. Par contre, il est fortement conseillé de sortir de la salle -en hurlant si vous voulez- quand il vous regarde d'une manière bizarre. Mais bien sûr, ce n'est qu'on conseille, rien ne vous oblige à le suivre. Ce n'est pas le genre de personne qui a un physique (et pas chimie) qui repousse les gens en arrivant dans la pièce (non, ça, c'est plutôt son odeur quand il a passé une nuit à faire ses expériences) Mais il n'attire pas non plus toutes les filles sur lui (sauf la fois où il a créé un parfum envoutant et qu'il s'en ai aspergé sans faire exprès en poursuivant son cobaye qui avait lâchement prix la fuite). Il a une peau... pas bronzé. Bah il faut dire que la Slovénie, c'est pas l'Afrique alors pour bronzer... c'est toujours plus compliqué. Bon, c'est pas non plus la Sibérie donc il n'est pas complètement pâle. Il a une couleur de peau ni trop pâle ni trop bronzé... dans la moyenne quoi. Et il est de nature assez solide, en dépit des apparences. Il s'est prix tellement de trucs dans la figure, il a été projeté tellement souvent contre un mur que... bah à force, il est devenu plus solide. Simple réaction de son corps face à ses activités un poil trop dangereuses. Donc, il est de taille normal et a un physique normal... A ce niveau-là.

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Par contre...si on se rapproche pour être plus précis... le physique commence à devenir un peu plus... spécial. Vous verrez. Donc au niveau du visage, on va commencer très fort, il a un oeil vert. Oui, un seul. Ou deux... allez savoir. Il porte un cache-oeil sur le droit.... Après, on peut penser que c'est juste pour faire jolie qu'il porte ça... C'est ce qu'on pense d'ailleurs quand on ne le connait pas. Mais quand on commence à le connaître, on se demande si ce n'est pas dû à une de ses expériences qui auraient mal tournée. C'est si vite arrivé... et surtout avec lui. Et après, vive les hypothèses au sujet de son oeil. Si ça se trouve, son oeil caché est carré au lieu d'être rond. Ou peut-être qu'il n'en a même pas. Enfin bref, on peut vraiment tout imaginer avec lui. En tout cas, personne n'a jamais su ce qu'il cachait derrière son cache-oeil, personne ne le sait et il y a des chances que personne ne le sache jamais... Enfin, il ne faut jamais dire jamais... Phrase stupide, non ? Bref, on va se contenter de dire qu'il a un oeil vert et un cache-oeil, on garde les valeurs sûres. Donc voilà. La plupart du temps, c'est un sourire qui se dessine sur ses lèvres. Un grand sourire. Mais méfiez-vous qu'il ne soit pas trop grand, sinon, il faut s'inquiéter. Généralement, son visage reflète la bonne humeur. On ne va pas s'en plaindre, c'est toujours mieux de voir quelqu'un de bonne humeur plutôt que quelqu'un qui boude constamment non ?
En ce qui concerne ses cheveux, bah, ça va ne pas jusqu'aux fesses, c'est pas pratique pour faire des expériences. Il les a court. Et roux. Des cheveux courts roux. Mais d'un roux assez spécial quand même... C'est à se demander si c'est pas suite à une expérience, ça aussi. Et il a les cheveux en bataille. Tout le temps. C'est pas très ordonné là-haut. Il faudra élucider ce mystère : est-ce qu'il se coiffe le matin ? Bonne question. Mais c'est peut-être suite à une de ses super explosions. En tout cas, c'est pas du gel mit n'importe comment. Tout porte à croire que ses cheveux sont en bataille naturellement et peut-être même que c'est inutile de les coiffer, le résultat serait le même. Après, souvent, lorsqu'il se met à travailler, il se met un bandeau dans les cheveux pour éviter d'être gêné. Ce qui se comprend. Travailler avec les cheveux devant les yeux -ou dans le cas présent, devant son oeil- c'est pas toujours génial. En plus, déjà qu'il ne peut voir qu'un d'un seul oeil alors si en plus il doit avoir tous ses cheveux devant l'autre... Va faire tous les calculs compliqués avec seulement ¼ de visibilité opérationnelle. Remarque si ça se trouve, ça ne le dérangerait pas. Il porte aussi à son oreille gauche une boucle d'oreille qu'il a reçu d'un scientifique de son village. Il était bien gentil ce monsieur et lui a offert pour l'encourager dans sa voix quand il était encore gamin. Depuis, il ne s'en sépare jamais.

J'ai réussit! j'ai réussit! j'ai *BOOOOM* ...ah bah non... Lavi_chibi

Sinon, niveau vêtement... bah... il porte l'uniforme de l'académie pourquoi ? Non, en dehors, il s'habille avec un jean de couleur claire... très claire. Et puis un t-shirt... Normal hein, c'est pas un travesti, il va pas porter de robe... et puis, ce serait pas très pratique pour ses expériences. Quand il fait froid, il porte un haut à longue manche, quand il va dehors alors qu'il se les gèle, il porte un manteau noir et une écharpe... orange. Une très longue écharpe. C'est dangereux les longues écharpes... Prenez garde si vous en avez une... C'est facile de se pendre avec un truc comme ça. Bon, D. respire la joie de vivre alors il a pas l'intention de se pendre mais faut faire gaffe à pas marcher dessus quand même. Attention : écharpe vendue en série limitée. Interdit aux personnes dépressives et aux maladroits.
Sinon, à part ça. Il porte des mitaines. Il aime bien... ça protège ses mains des produits nocifs et en plus, c'est sympa à porter. Parce que mine de rien, s'acheter des gants de protection -vous savez, ces machins transparent et collants- bah ça se trouve pas si facilement que ça. D'accord, quand on est capable de trouver de l'Acide Nitrique, on est capable de trouver ça mais bon... C'est moche et c'est vite zigouillé. Alors que les mitaines, d'accord, c'est vite zigouillé aussi mais c'est joli et ça se trouve plus facilement. Et puis quand D. tient un tube à essaie, il aime bien le sentir entre ses doigts plutôt qu'à travers un de ces trucs transparent et pas agréable. Donc voilà, mitaine. Sinon, oui, avec son caractère, on pourrait penser qu'il se balade avec une blouse sur lui. Et bien détrompez-vous, il n'en porte pas... Ou plus exactement, il n'en porte plus. Et ce, depuis longtemps. Bah, oui, à force de les faire brûler/Carbonisé/ dissoudre/exploser/... Bah il en avait marre d'aller en racheter. Parce que l'endroit où il allait en acheter avant, mine de rien, ça faisait loin. Et puis ça commençait à couter chère. Bon, d'accord, c'est en dépensant qu'on fait marcher l'économie d'un pays mais ses produits lui coûtaient suffisamment chère comme ça. Il avait un argent de poche à gérer. Oui, du coup, ce sont ses vêtements qui prennent tout. Mais il a appris à faire un minimum attention pour pas se mettre de l'acide nitrique sur lui. Après, on est jamais à l'abri d'un accident.

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Ça se passe comment dans votre tête ?
Sachant que la constante de la loi de Coulomb (noté k) est égale à 9,0x10^9 SI, si on multiplie ce nombre par les résultats précédents, c’est-à-dire 3,06, ça donne 2,754^10 SI, ce qui signifie que…
En fait, rentrer directement dans sa tête pour savoir ce qui s’y passe n’était pas vraiment une bonne idée. C’est trop remplit là-dedans…

Donc. D. est... à fond sur la physique-chimie comme vous avez pu le remarquer. C'est sa passion depuis qu'il est tout petit et ça le restera. Non, ce n'est pas une simple envie passagère que de mélanger des trucs suspects, chez lui. Il adore ça et il ne peut pas s'en passer. Son rêve serait de devenir le plus grand scientifique que la terre n'ai jamais connu. Et il s'y est prix dès son plus jeune âge pour ça... au risque de faire s'éloigner un bon nombre de personne de lui. Il faut dire qu'il peut devenir rapidement effrayant. Comme quand il fait son rire de savant fou. Il ne le fait pas souvent, mais ça lui arrive. Et dans ces cas-là, il faut se méfier... Comme quand il vous regarde d'une manière bizarre. Genre, il vous fixe sans vous lâcher des yeux. Quand il est comme ça, son cerveau est en train de travailler à 200 km/h sur une expérience dont il a eu l'idée et dommage pour celui qui est fixé, mais il deviendra officiellement le cobaye de sa prochaine expérience. Il n'est jamais en manque d'expérience en tête. Il a toujours quelque chose sur le feu. Et quand il a fini un truc en cours, eh bien il en refait une autre qu'il garde en réserve depuis un moment ou qu'il vient d'avoir à l'instant. Bien sûr, pour lui, en faire plusieurs à la fois n'est pas compliquée, c'est même une chose très courante. Enfin bref, il n'est jamais à court d'idée. Il a une imagination débordante et son cerveau est toujours en état de marche (allez savoir à quoi ressemblent ses rêves).

Sinon, il est très énergique. Une vraie pile électrique. Il n'hésite pas à passer sa journée à courir entre deux endroits pour faire deux expériences en même temps. Bah oui, parfois, il faut un environnement spécifique alors quand il en a deux comme ça qui ne sont pas dans le même environnement, faut courir. Enfin, bref, en général, il pète la forme et heureusement pour lui. Parce que des fois, il reste quand même plusieurs jours sans dormir ! Pour rester dans ses expériences, ses trucs comme ça. Dans ces cas-là, il carbure au café quand même. Mais quand il reste trop longtemps éveillé à l'aide du café, là, il devient vraiment effrayant. J'vous jure, rien que sa tête, ça fait flipper. Je vous souhaite de ne jamais voir ce que ça donne. Et je ne citerais pas ici le résultat d'un Slovène soumis à plusieurs jours de café.
Enfin bref, il est toujours énergique, surtout lorsqu'il vient de trouver une nouvelle TBIES (TBIES = Trop Bonne Idée d'Expérience Scientifique) Oui, il dit TBIES parce que c'est plus court à dire. Imaginez, il est là et il dit « Je viens d'avoir une trop bonne idée d'expérience scientifique ! » ça fait toujours plus long que « j'ai une TBIES ! » Et du coup, il gagne quelques secondes sur son précieux temps. Ah oui ! il ne faut pas s'étonner si il dit des choses bizarre... c'est courant chez lui. Il ne vous demandera pas si vous avez du cuivre sur vous, il vous demandera si vous avez du Cu. Autre exemple de la vie courante. Quand une personne va chercher des croissants à la boulangerie, la personne, pour demander ce qu'elle veut, dira : « auriez-vous l'obligeance de me servir un de ces délicieux pains parfumés avec amour et passion ? » ... Bon, d'accord, c'est un noble qui parlerait comme ça... Toujours est-il que D., lui dira ça : « Donnez-moi un bâton de 80cm et de masse 250g constitué de t55, avec, naturellement, 15% d'H20, 72% d'amidon (C6H10O5), 2% de C12H22O11, et le reste, vous devez savoir. S'il vous plait ». Vous voyez la différence ? C'est quand même quelque chose ! Enfin bref, vous voyez, il a un langage très particulier.
Il utilise aussi des expressions très... spéciales. Les plus fréquentes sont « nom d'un tube à essaie ! » ou alors « Par la pomme de Newton ! » Mais après, il en a d'autre. Comme « Nom d'un erlenmeyer ! » Enfin, vous voyez le genre. Des trucs en rapport avec la science, une fois de plus. En fait, chez lui, tout tourne un peu autour de ça alors à bien y réfléchir, c'est pas vraiment étonnant de l'entendre dire des trucs comme ça. En fait, il pratique plusieurs langues : le slovène, l'anglais, l'allemand et le scientifique. Ouais, le scientifique devrait devenir une langue à part entière, vous ne trouvez pas ? Si c'était le cas, on pourrait dire qu'il parle plus le scientifique que le slovène.

Sinon, il est plutôt sympathique, toujours de bonne humeur, c'est pas lui qui vous insultera sans raison. Non, s'il vous insulte, c'est qu'il attend une réaction précise de votre part... et qu'il a une idée derrière la tête. Il ne fait jamais des choses sans intérêts. Quand il vous pose une question, c'est pas pour rien. Rien qu'un minuscule petit « ça va ? » ça veut dire qu'il veut vraiment savoir si vous allez bien, si vous êtes en état de servir de cobaye. Mais attention ! Même à cette question-là, il est impossible de savoir s'il vaut mieux répondre oui ou non. En tout cas, savoir que vous allez bien ou mal alors que vous n'êtes pas prévu sur sa liste de cobaye dans les jours à venir, il s'en fiche. Alors ne vous avisez même pas de lui parler de vos problèmes si ça n'a aucun lien avec la physique-chimie. Par exemple, si vous venez le voir et que vous avez un gros problème de coeur du genre, vous sortez avec quelqu'un mais vous en aimez un autre, mais d'un autre côté, vous ne voulez pas faire de mal à la personne avec quoi vous êtes, il se contentera de vous regarder et de dire un truc du genre « en effet, t'es mal barré » et il repartira en direction de ses tubes à essais. Et encore, là, ce serait dans le cas où il a daigné vous écouter. C'est qu'il n'avait rien d'urgent, qu'il avait mis un truc à décanter et qu'il devait attendre. En gros, quand il n'a rien d'autre à faire.
Soyons claire... Pour lui, les sentiments, l'amitié et compagnie, c'est comme le chinois (et c'est pas contre toi, Chine). Il n'y comprend strictement rien. Les personnes qui lui parlent de la magie du premier baiser, il rira bien. Déjà parce qu'il ne croie pas en la magie mais seulement aux choses logiques. Les causes et les conséquences, à la raison. Mais en plus, pour lui, un baiser c'est un simple mélange de salive par le biais de la voix buccale. Et il trouve ça dégueulasse et sans intérêt. Oui, comme un enfant de 5 ans, il trouve ça écoeurant. Il faut dire qu'il se comporte pas mal comme un gosse. Il est aussi énergique qu'un môme jouant au chat. Et son tic de se ronger les ongles quand il a fait une bêtise, ça fait pas très mature. Enfin bref.

Et un dernier point caractéristique de D. Il ne laisse jamais tomber. Un simple problème ne l'arrêtera pas dans son élan. Il est même prêt à tout recommencer du début pour réussir. Des fois, il arrête de réfléchir sur un problème, mais il y revient après. Il fait une pause, il passe à une autre TBIES pendant plusieurs jours et après il y revient. Ainsi, il peut prendre un peu de recule par rapport à ce qu'il a fait -et s'aperçoit que son problème venait juste d'une simple erreur de signe dans son calcul de 3 kilomètres de longueur...c'est fou à quel point un moins remplacé par un plus change tout le calcul-. Mais son activité préférée est toujours celle de mélanger des trucs pour voir ce que ça peut faire. Parce que comme tout bon scientifique, D. est quelqu'un de très curieux !


Ce que vous aimez : La Physique-Chimie évidemment. C'est toute ma vie ! J'adore faire des expériences en cours de physique-chimie, et même en SVT. Sauf que comme les expériences qu'ils font sont des trucs de bases que j'ai déjà fait et que je connais, je préfère rapporter mes propres produits chimique et faire mes expériences tout seul de mon côté. Après, je ne compte plus les salles de classes que j'ai fait exploser mais... c'est marrant. Après, quand je me fais chopper et que je me retrouve dans le bureau du dirlo, ça l'est déjà moins mais bon... si ça en valait la peine, ce n'est pas très grave. Sinon, c'est inutile d'attendre les cours pour pouvoir faire mes expériences tellement j'aime faire ça. J'aime tester pleins de trucs sur des cobayes -humains ou autre-. Donc bref, vous avez compris, je pense, j'adore la Science ! ...Et Gaston Lagaffe.


Ce que vous n’aimez pas : Je déteste qu'on me confisque mon matériel de chimie. Ne compter même pas essayer. Que vous soyez élèves/profs/dirlo, je ne vous laisserais pas faire. Sinon, je n'aime pas...*réfléchit* manger la nourriture d'Angleterre mais ça c'est tout le monde... Après si ce n'est pas pour la manger mais pour faire des expériences dessus, là j'aime bien. Et puisqu'on parle de nourriture...je n'aime pas les poireaux. Nan mais c'est horrible ces trucs-là ! Comment peut-on trouver ça bon ? J'aimerais bien savoir quel est l'idiot qui a décrété que ces machins-là étaient comestibles. Bon, d'accord, le corps humain trouve ça bon, mais... Voilà quoi, pour la langue, il y a mieux. Et c'est pas faute d'avoir fait plein d'expériences sur ce machin. Mais même la forme du truc, ça donne pas envie de le manger ! Bon, j'arrête mon discours sur cet infâme légume.


Talents particuliers : Faire des explosions, des expériences, des inventions… enfin tout ça, quoi. Ah ! et je suis très fort à la course… Bah oui, parce que quand vous faites sauter un truc à la figure de quelqu’un, il a tendance à
vouloir vous attrapez pour vous défoncer. Donc à force de fuir face à ce genre de situation, je suis devenu très fort.



Habitudes/Tics : Eh bien… j’ai tendance à me rongez les ongles : quand je réfléchit, je me ronge l’ongle du pouce et quand j’ai fait une bêtise et que je me fait chopper, ce sont les autres ongles que je ronge… C’est une façon très pratique de savoir si c’est bien moi qui ai fait sauter la salle…Mais que voulez-vous, c’est un réflexe dont je n’arrive pas à me défaire…Mais un jour, je créerait un produit qui… *se prend un objet non identifié dans la figure*


Clubs dont vous faites partit : J’ai pas le temps pour ça, j’ai du travail, moi.
Loisirs : Inventer des trucs, mélanger des produits chimiques…
Poste/Emploi : Je suis peut-être un peu jeune pour avoir un emploi non ? *excuse à deux balles pour pouvoir passer plus de temps sur ses expériences*



    Pourquoi Moi!? Oo

    Surnom : J’vous laisse gérer ça
    Âge : 16 ans
    Comment vous avez connu le forum ? DC. De qui ? haha !
    Des commentaires ? Je serais le plus grand scientifique que le monde ai jamais connu ! MOUAHAHAHA
    Et pour finir, le fameux code secret ! ]{Code validé par le Dirlo}


Dernière édition par Slovénie/D.Črv le Mer 29 Déc - 16:25, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: J'ai réussit! j'ai réussit! j'ai *BOOOOM* ...ah bah non...   J'ai réussit! j'ai réussit! j'ai *BOOOOM* ...ah bah non... Icon_minitimeMer 29 Déc - 13:24

Histoire Personnelle :

Alors... commençons par le commencement. Et toute histoire commence dans un hôpital, avec une femme allongée dans un lit, en train d'agrandir la population de la planète. Bon d'accord, il y en a qui commence ailleurs, comme dans un taxi en direction de l'hôpital par exemple. Et donc... oui, pour certain, il serait plus exacte de dire que l'histoire commence sur la conception de ce qui sera le bébé quelques mois plus tard. Bon alors, si ça vous intéresse, ça se résume à deux jeunes gens, un garçon et une fille qui ont décidé de LE faire, avec un certain taux d'alcool dans le sang mais là, je ne m'étendrais pas... Non, ils n'étaient pas alcooliques, ça arrive à tout le monde d'être bourré, on va pas dramatiser. Donc, pour revenir à l'hôpital... oui, avant, il y a eu la grossesse. Bon, si vous me coupez à chaque fois que je veux raconter l'histoire, on est pas couché... Dites-le tout de suite si vous ne voulez pas qu'on parle du jour de sa naissance plutôt que de retarder l'inévitable ! Bref. Pour parler un peu de la grossesse, y a pas grand-chose à dire... les parents étaient très heureux à l'idée que la famille s'agrandisse. La femme avait des envies de femmes enceinte comme toutes les futures-maman. Elle, c'était les chocolats alcoolisés... NON, je vous ai déjà dit qu'ils étaient pas alcooliques ! Chacune ses envies de femmes enceintes. Après, je ne dirais pas que ça n'a eu aucune répercutionsur le bébé. Certes, D. ne tient pas l'alcool -enfin, ne tiendra pas l'alcool vu qu'il n'est pas encore né à cette époque- mais vous admettrez que son caractère est assez bizarre -comme certainement beaucoup d'élève de cette académie, renseignez-vous sur l'envie de femme enceinte de votre mère.

Bon, on a fait la conception, on a fait la grossesse, on peut revenir à l'hôpital ? Merci. Donc la mère était en train de hurler de douleur. Eh oui, sans la péridurale, ça fait mal... mais en même temps, la péridurale... vous avez vu le gros truc ? L'énorme aiguille qu'ils vous enfoncent. Bon, d'accord, ils ne vous la montre pas mais on le sait qu'ils sont sur le point de vous mettre un corps étranger pointu dans le corps... ça fait flipper... on dirait un film d'horreur. Et dire que ce truc de barbare est encore utilisé de nos jours... Et après, on prétend qu'on est moderne et civiliser... Mais nous nous égarons. Donc oui, la femme hurlait car elle avait eu la sage idée de ne pas prendre l'énorme seringue. Et comme elle hurlait, le bébé qui était encore à l'intérieur n'avait pas forcément envie de sortir, ce qui peut se comprendre. Donc, il ne voulait pas sortir et ça dura quelques petites heures comme ça... Si il y avait eu quelqu'un qui attendait à l'extérieur, genre, grands-parents, ou des gens comme ça -ce qui n'était pas le cas- ça aurait fait un bail qu'ils seraient partis. Et je ne vous raconte pas la souffrance de la mère... Oui, c'est le mauvais côté quand il n'y a pas de péridurale... Mais ne revenons pas sur ce sujet. Les médecins commençaient à regretter de ne pas avoir prix de boules quies en partant de chez eux le matin pour aller au travail. Je vous garantis qu'après ça, les médecins qui étaient présents ce jour-là on toujours prix leurs boules quies avec eux, sans jamais les oublier. Mais bon, ça, ce n'est pas l'histoire de D, on est pas là pour parler de Grey's Anatomy. En plus, c'était même pas le même hôpital, Grey's Anatomy, c'est aux Etats-Unis, là, on est en Slovénie. Mais malgré les hurlements du bébé finir par ce faire entendre, se joignant à ceux de sa mère. Puis, il sortit enfin. Le médecin pris le bébé, je vous épargne les détails, et il le regarda... au bout de quelques secondes, il s'exclama :

-Ah ! Ce bébé n'est pas fini.

Sur le coup, plus personne n'a rien dit, sauf le bébé évidemment qui criait parce qu'il avait froid... La mère était trop fatiguée après ce qu'elle venait d'endurer pour répondre. Il fallait d'ailleurs le temps que l'information monte au cerveau, et qu'ensuite, le cerveau lui dise qu'elle doit réagir et comment elle doit réagir. Le père qui était bien évidemment présent, fut moins long à déchiffrer les paroles du médecin. Oui, lui il était moins fatigué que ça femme, ce qui est normal.
Mais les deux étaient étonnés. C'est vrai... Quand un bébé sort avec Deux jours de retards et qu'en plus, il met des heures à sortir, quand on vous dit que ce bébé n'est pas fini, vous avez du mal à encaisser. Mais en fait, il était tout ce qu'il y avait de plus fini. C'était juste qu'il était entouré d'une espèce de truc graisseux bizarre qu'ont les bébés qui sortent trop tôt. Mais sinon, il était entier. Deux bras, deux jambes, deux (un ?) yeux (oeil ?) Enfin bref, vous m'avez compris il était normal... physiquement. Après, dans la tête, c'était une autre histoire. Bien sûr, pas besoin d'être fini pour avoir une case en moins. Mais bon, nous parlerons de tout cela plus tard. Pour l'instant, revenons au cours de notre histoire.

Donc, l'enfant grandit. Et déjà jeune, on pouvait voir qu'il avait un penchant pour mélanger des trucs. Bien sûr, vous me direz, tout le monde quand il est gamin se faufile discrètement dans la salle de bain pour y mélanger tout ce qu'il vous tombe sous la main. Shampoing, dentifrice, parfum, et j'en passe. Après, il y en a déjà peut-être un tout petit peu moins qui s'amusent à mettre des quantités précises et qui notaient les résultats à la fin sur un petit carnet. Evidemment, quand on fait joue-joue avec du dentifrice, y a pas grand-chose comme résultat. Mais sur son petit carnet, on pouvait déjà voir des choses comme : Crème dépilatoire + shampoing de papa -> papa en colère. La suite de l'expérience était de savoir comment cela se faisait que la crème dépilatoire avait cet effet. Il commença à faire des recherches, tester des réactions chimiques avec ce qu'il avait à disposition. Je précise qu'il avait à peine six ans et que, par conséquent, il n'avait pas grand-chose à disposition. Alors il alla sur l'ordinateur pour essayer de comprendre comment tout cela fonctionnait. Et comme l'ordinateur ne suffisait pas toujours, il commença à se rendre régulièrement à la bibliothèque pour pouvoir faire plein de recherches. Les résultats de ses recherches sur cette crème, je ne l'écrirais pas ici. Si vous voulez le savoir, vous n'avez qu'à faire vos recherches personnelles. En tout cas, il commençait à passer un temps fou à la bibliothèque. Surtout à partir du moment où il tomba sur tout un rayon consacré à la physique-chimie. Là, il appris plein de nouvelles choses. Des produits chimiques démentiels dont il ne soupçonnait pas l'existence comme « lithium »(Li) ou « acide acétique » (C2H4O2 ou CH3COOH). Il arrêta même de dire certains mots pour les remplacer par leur formule chimique. Du genre, à table, il disait « maman, passe-moi l'H2O s'il te plait ». Il fallait bien avouer que ça faisait bizarre d'entendre ça dans la bouche d'un gamin. Il appris le tableau périodique des éléments par coeur aussi. Le soir, avant d'aller se coucher, il le relisait. Il ne lui a pas fallu longtemps avant de la connaitre. Maintenant, vous pouvez lui demander n'importe quel élément, il vous dira le nombre de neutrons, protons, nucléons, électrons, la masse atomique, et même la famille à laquelle il appartient. Et il pourra même vous dire avec quoi il est déconseiller de le mélanger si on veut garder sa maison intacte.

C'est ainsi que pour le Noël qui suivi, les parents de D lui offrirent du matériel de petit chimiste qu'ils avaient pu trouver. D n'avait jamais été aussi heureux. Il avait trouvé sa vocation et ses parents l'encourageaient à poursuivre la voie qu'il avait choisi. La première chose qu'il fit, ce fut de remercier ses parents avant d'aller faire des expériences avec des milliers d'idées de découvertes en tête. C'était une véritable passion. Le genre de passion qu'on ne trouve qu'une seule fois dans une vie... et encore, si on a de la chance. Il passait ses journées avec sa petite blouse blanche sur le dos, il dormait même avec -quand sa mère ne lui prenait pas pour la laver-. Donc, il s'amusait toute la journée avec ses petits machins. Généralement, il allait dans le fond du jardin pour faire ses expériences... non parce que même si les produits n'étaient pas dangereux -ses parents faisaient quand même un minimum attention à ce qu'ils donnaient à leur fils- on n'était jamais à l'abrit d'une petite explosion qui pourrait salir toute la maison. Après, vient le jour où... D voulu des produits chimiques un peu plus importants que ces petits bidule qu'il avait à disposition. Alors il sortit toute la journée, à la recherche de ce qu'il cherchait, avec un sac muni de deux trois bricoles au cas ou. En plus, le temps était avec lui : il faisait un soleil radieux. Donc, il marcha dans la rue et fini par trouver un immense bâtiment que tout le monde connait pour la simple et bonne raison que la plupart des gens y passent 3 bonnes années de leurs vies minimum... Un lycée. Et au lycée, on étudie la physique-chimie. Et les élèves font des Tps. Et pour les Tps, ils ont besoin de produits chimiques ! Bingo, D. avait trouvé ce qu'il lui fallait. Impeccable, il trouverait sûrement pleins de trucs intéressants. Sauf que voilà... quand t'as pas l'âge d'aller au lycée...c'est dur d'entrer. Donc, il fit le tour du bâtiment. Il trouva par chance une petite ouverture par laquelle il se faufila. Jusque là, tout se passait bien. Maintenant, il n'avait plus qu'à avancer discrètement... Avec sa chevelure de couleur assez particulière, c'était pas toujours évident mais il faisait avec. Donc, il restait contre les murs, s'engageait dans les couloirs à la recherche de trucs intéressant. Il se dit qu'il commençait à se rapprocher lorsqu'il vit des gens en blouse. Professeur ? Préparateur ? Quelle importance ? Ils avaient des blouses et qui dit blouse, dit expérience et qui dit expérience dit produits chimiques et matériel ! Il avança encore, discrètement -il s'était mis un chapeau sur la tête pour éviter qu'on ne le repère à ses cheveux... c'est fou tout ce qui peut trainer dans un lycée- et enfin, il vit une belle salle remplit de de... d'Acide Nitrique (HNO3) ! D'erlenmeyer ! D'éprouvettes gradués de toutes tailles ! De chlorure de Sodium (NaCl) ! De...bon, on va pas tout dire parce que s'il faut citer tout ce qu'on peut trouver dans un laboratoire de lycée, on n'est pas rendu, surtout si on commence à compter les cartes postales envoyé de la part des élèves de classe européenne qui partent en hollande -je vous accorde qu'il n'y en a pas souvent beaucoup mais bon-. Pour vous donnez une petite idée du point auquel il était rendu tellement il était content, voici la tête qu'il a fait en voyant tout ça :

J'ai réussit! j'ai réussit! j'ai *BOOOOM* ...ah bah non... Z

Donc, voilà, c'était le paradis de D à porter de main. Le seul problème... C'était qu'il y avait des gens dans la salle. Forcément, s'il allait les voir gentiment en leur demandant s'ils pouvaient lui donner quelques trucs, ils ne le feraient pas. Et encore moins à son âge. Il fallait réfléchir. Un moyen sûr qui ferait que plus personne ne serait là. Bon, il opta pour une bonne vielle technique, mais toujours efficaceIl regarda le plafond et trouva ce qu'il cherchait. Un détecteur de fumée. Il sortit de son sac un paquet d'allumette, -oui, il se balade souvent avec ça, et alors ?- en brûla une et l'approcha du détecteur de fumée... qui ne se déclencha pas. Il n'y avait pas assez de fumée sans doute. Bon, il alla se planquer dans un coin et sortit carrément toutes ses allumettes. Et des feuilles de papier... et tout ce qui pouvait brûler dans son sac. Et il mit le feu à tout ça. Joli petit feu de camp. L'alarme se déclencha quelques instants après. Il entendit les élèves comme les profs se diriger rapidement vers la sortie de secours. Il attendit sagement que tous sortent du lycée. Puis, il alla dans le laboratoire qu'il avait repéré plus tôt et fit ses courses. Bien évidemment, ce n'était pas un voleur alors il laissa une grande somme d'argent sur la table pour que le lycée puisse racheter la totalité de ce qu'il avait pris, voir plus. Puis, il revint vers son feu de camp pour l'éteindre. Il prit une bouteille d'eau et la lança sur le feu. Sauf qu'il ne s'éteignit pas, il grandit! Une énorme flamme jaillit ! De se recula machinalement et tomba à terre de surprise. Comment pouvait-il grandir ? Il était censé s'éteindre ! C'était physiquement impossible qu'il soit devenu plus fort avec de l'eau ! Il regarda la bouteille qu'il avait dans la main... c'était pas de l'eau... Il s'était trompé de bouteille. C'était logique qu'un feu grandisse... Quand on lui balance de l'essence dessus... C'était pas possible d'être aussi gaffeur ! Il se releva et chercha des yeux de quoi éteindre ce feu. En tout cas, là, question fumée, il avait ce qu'il fallait ! L'alarme lui déchirait les tympans et la fumée le faisait suffoquer. Il s'empara vite de l'extincteur qui était par chance juste à côté. Problème, il était trop lourd et il n'arrivait pas à le soulever. Il allait brûler tout un lycée ! Il irait en prison ! Et en prison, on peut pas faire d'expérience ! Non ! Il devait sauver le lycée des flammes ! Après l'avoir mis en feu... Il arriva enfin à mettre l'extincteur en marche et éteignit vite l'incendie. Sauvé... Plus de feu... Il toussait encore à cause de la fumée. Bon, là, il n'y avait pas 36 choses à faire... Il sortit en courant du lycée. Une telle vitesse est rarement atteinte. D avait l'habitude de fuir en courant. Une fois sortit du lycée, il continua de courir pour s'éloigner le plus possible. Et il se dit qu'il devrait brûler le journal du lendemain car ce qui venait d'arriver avait des chances d'y être.

Ses parents ne s'inquiétèrent pas trop de cette longue absence... Leur fils faisait souvent ce genre de choses... Non, ils s'inquiétèrent seulement lorsqu'ils le virent revenir avec des produits TRES dangereux. Vous savez, ce genre de produits avec des signes sur le flacon qui vous disent que c'est très nocifs, que c'est inflammable... ça se voit tout de suite quand les trucs chimiques sont pas claires. Et je ne vous raconte pas le temps qu'a mis D pour les convaincre qu'il savait ce qu'il faisait. Il connaissait toutes les consignes de sécurités et blablabla... En fait, il ne les a jamais convaincus... Donc il le faisait en cachette. Il profitait que ses parents partent faire des courses ou des trucs comme ça et hop, il se mettait au fond du jardin... Et là... les explosions qu'il faisait... c'était quelque chose. Les voisins ne manquaient pas de se plaindre et donc les parents n'ignorèrent pas longtemps les actions de leur cher fils. Engager une nounou pour s'occuper de lui pendant qu'ils n'étaient pas là était une idée qu'ils avaient souvent eu... seulement, qui voudrait garder un garçon qui prenait n'importe quoi et n'importe QUI pour lui servir de cobaye, même si la personne n'était pas d'accord ? Eh bien la réponse... c'était un petit français qui n'avait pas froid aux yeux et qui voulait se faire un peu d'argent.. Il s'occupa de lui comme il pouvait mais D. s'amusait à faire plein de trucs sur lui... ça commença par les tests sur la très bonne nourriture française...puis sur les vêtements français... D se demandait pourquoi sa nounou masculine ne portait pas si souvent que ça ses vêtements sur lui. Il se dit qu'ils ne devaient pas être confortables. Ou alors qu'ils étaient dangereux pour la santé si on les portait trop. Ainsi commencèrent les tests. Et le nombre de fois où le français en question rentrai chez lui sans vêtements sur lui car ces derniers avaient été carbonisés/dissous/ rétrécit/en lambeaux... la liste peut être longue. Mais ce n'était pas ça qui dérangeait le plus notre français, loin de là. Non, ça le dérangeait un peu plus quand D faisait des expériences sur les cheveux français... sur la peau... et même sur les yeux. Bah oui, il avait un cobaye a disposition alors il ne se gênait pas pour s'en servir. En plus, appâter un résident de la France, c'était loin d'être dur... vous mettez une poupée d'un Anglais bien connu et directe il rapplique pour la zigouiller, c'est magique. D'ailleurs, la magie de l'Angleterre, c'est bien connu. Mais ce n'était qu'un moyen parmi d'autre d'attirer le Français dans un piège... Mais je ne citerais pas... je garde les astuces pour plus tard...

Donc, forcément, arrive le jour où le français en eu assez de servir de rat de laboratoire pour le jeune scientifique. Donc, il le laissa, l'abandonna comme une vielle chaussette sale. Vient alors son remplaçant. Un germain. Alors déjà, niveau nourriture, la qualité avait changé... ce n'était pas la même du tout. Bon, on était encore loin d'un produit d'Angleterre mais ce n'était pas le français. La gastronomie française lui manquait, il fallait bien l'avouer. Mais bon... c'était sûrement génétique. La France avait le gène « faire de la cuisine » et l'allèle « bonne cuisine ». A l'évidence, ce n'était pas le cas de son nouveau baby-sitter. Il avait eu l'autre allèle du gène. Alors il n'y avait pas 36 solutions... Et là, vous me direz, la solution, c'était de se résigner et de se contenter de la nourriture moins bonne en qualité... Eh bah non. Pour D, la solution, c'était de procéder avec un système de transgénèse. Il n'avait qu'à transmettre l'allèle « bonne cuisine » du français et le transmettre dans le corps du germain. C'était aussi simple que ça. D avait en plus de la réserve de cheveux français qui traînait. Et les expériences prirent leurs cours. Bien sûr, le cobaye s'en ai tiré. Il resta même longtemps aux côtés de Slovénie pour le garder. Il n'avait pas froid aux yeux. Résultat, D n'a jamais réussit à lui refiler le bon allèle... Mais il a fait plein d'autres trucs. Et puis, quand on est gosse, la transgénèse, ce n'est pas évident, surtout quand on n'a pas le matériel qu'il faut. On a beau essayer de la fabriquer, ça vaut pas les bons trucs de laboratoire de professionnel.

Voilà, donc jusque là, tout va bien. Il vivait heureux, tout va pour le mieux... Après, il y a eu quelques complications dans sa vie...

Mais avant ça, une petite anecdote, ça vous dirait ? Histoire de se détendre un peu de tout ce que vous avez lu sur sa petite... histoire, justement. Donc, voici une anecdote. Vous connaissez la capitale de la Slovénie ? Ljubljana. Très dur à prononcer. Un nom de capitale assez bizarre. Eh bien, je vais vous dire pourquoi elle s'appelle comme ça. Slovénie était là, encore à faire ses expériences chimiques. Là, il travaillait depuis un moment sur une nouvelle invention. Et ce jour-là, il pensait avoir enfin réussit. Il tenait dans sa main, un tube à essaie contenant un produit bleu qui était sensé vous donner la même couleur de peau. Seulement voilà... Il ne trouva pas de cobaye pour tester... Personne n'était aux alentours et il mourrait d'envie de vérifier si ça marchait... Alors qu'est-ce qu'il fit ? Eh bah, il fût lui-même son cobaye. Il but son truc -qui n'était pas très bon d'ailleurs- et là, sa langue lui faisait tout bizarre. Elle paraissait grossir et elle était toute engourdie. Sur ces entre-faits, une personne importante dans le gouvernement Slovène arriva. Et là il se dit que c'était bête parce que s'il avait attendu deux secondes, il l'aurait eu, son cobaye. Mais bref, cette personne lui demanda comment il voulait appeler sa capitale. Et D n'était pas capable de prononcer des mots sensés. Sa langue était trop... dans un état bizarre pour qu'il puisse articuler... Mais il tenta quand même de répondre et tout ce qui sortit de sa bouche, c'était « Ljubljana » Ce qui n'était pas vraiment ce qu'il voulait dire à la base. D'ailleurs, personne ne l'a jamais su. Mais c'est ainsi que la capitale de la Slovénie fût baptisée comme ça.

Voilà, c'était la petite anecdote. Revenons au cours de notre histoire.

Donc, une enfance plutôt sympathique pour un enfant passionné de physique-chimie. Seulement voilà, l'enfance n'est pas finie. En effet, le petit bonhomme aimait bien les explosions. Et plus ça allait, plus elles étaient grosses. Et quand on fait des trucs comme ça, on vous repère de loin. Et qui est-ce qui a repéré de loin notre jeune Slovène ? Autriche ! Autriche qui, en ce temps-là, aimait bien ajouter du monde dans sa maison. Peut-être qu'il se sentait seul... Enfin, ça le regarde. Donc, il alla voir D avec la ferme intention de le ramener chez lui. Mais le principal intéressé n'était pas vraiment d'accord au départ. L'Autrichien avait l'air d'être un vrai rabat-joie. Il s'imaginait une maison calme dans laquelle la plus petite explosion ferait un bruit pas possible... comment se faire repérer en moins de deux... ça sentait les punitions à plein nez ça... Et D. n'aimait pas les punitions... comme tout le monde, quoi. Donc, il ne voulait pas aller avec Autriche. Seulement voilà, ses parents, eux, ils voulaient volontiers. Se débarrasser ne serait-ce que quelque temps de leur fils aurait été pas mal... histoire d'avoir des vacances. Et puis... D. avait fait exploser une table, deux fenêtres, un lit et 3 armoires dans la maison en une semaine... alors ça pouvait se comprendre que les parents étaient un peu sur les nerfs. Mais si, ils aimaient leur fils...mais seulement des fois...voilà, ils en avaient marre de racheter tout ce qu'il cassait. Donc les parents, eux, ils étaient consentants à l'idée d'avoir des vacances. Donc pendant que D. essayait de se planquer pour éviter que l'autrichien le trouve, les parents complotaient tranquillement. Et donc, il se fit avoir, quoi. Il ne se doutait pas vraiment des actions des adultes avec qui il passait sa vie. Donc, sa mère pris soin de glisser un somnifère bien puissant dans son verre un soir -qu'elle avait trouvé dans la chambre de son fils-. Et pendant que ce dernier dormait, elle l'apporta à Autriche qui le pris et le ramena chez lui.

Quand il se réveilla, il fût assez surpris de se retrouver dans une salle SANS MATERIEL CHIMIQUE ! Il sortit en trombe de la salle où il était et bouscula sans faire exprès quelqu'un... C'était un garçon avec une mèche bizarre sur le côté qui était en train de balayer... Italie du Nord. Ce fût la première personne qu'il rencontra. Il lui expliqua qu'il se trouvait chez Autriche et machin... en gros, qu'il s'était bien fait avoir. Là, il soupçonnait ses parents d'avoir fait un coup monté contre lui. Comme quoi, il a de l'instinct ce gosse. Puis, en continuant de visiter la maison, il tomba sur Autriche. Bon, la rencontre était pas géniale... Autriche lui interdisait forcément l'usage de produits chimiques dangereux ou même susceptible de faire des tâches sur les habits ou sur le sol. Et en bonus, il devait nettoyer le sol... Bah tient. Comme s'il allait obéir. Doté d'un esprit de franchise à ce moment-là, il dit à Autriche qu'il n'était pas question qu'il fasse quelque chose de ce genre. Le ménage, il pouvait oublier. Et il continuerait ses expériences, quoi qu'en dise le noble. D. ne faisait le ménage que pour nettoyer son matériel de physique-chimie, c'était tout, il ne fallait pas compter sur autre chose. Donc forcément, les deux n'étant pas d'accord, ça explosa entre les deux... et dans les deux sens du terme... oui, le slovène avait gardé un peu de lithium dans sa poche et un peu d'eau alla se mélanger avec et...bon, vous pouvez deviner le résultat de la réaction. Donc voilà, ce n'était pas trop la bonne entente entre les deux. D. se procura rapidement du nouveau matériel et des produits à la même manière que la première fois, avec l'histoire du lycée mais sans l'incendie cette fois-là. En plus, il avait vraiment moyen de s'amuser. En dépit de ce que lui disait le maître de maison, il faisait des expériences sur tout le monde. Italie du Nord, Hongrie –qui habitait là, elle aussi-, Saint Empire Romain Germanique –mais lui avait l’habitude à force- et même sur Autriche. Eh oui, ça fait plein de cobayes ! Et tous différents ! Autant dire que ce n’était pas si mal d’être tombé dans cette maison. Bon, après, quand il faisait une bêtise, il devait nettoyer mais bon… il avait l’habitude de faire ça. Seulement là, il devait le faire constamment. Il ne pouvait pas dire qu’il faisait une seconde expérience et qu’il nettoierait après. Non, il devait nettoyer tout à chaque fois qu’il faisait quelque chose. Assez barbant mais à force, il le faisait rapidement. Il n’avait pas le droit de faire deux expériences d’affilé du coup. Bon d’accord, à la base, il n’avait même pas le droit de faire des expériences tout court mais il ne fallait pas trop en demander. Evidemment, toutes les choses qu’il a cassées dans la maison de l’Autrichien ne seront pas citées ici, par manque de place. Mais pour vous donner un avant gout, la note du vitrier coutait vraiment chère et seulement pour un mois. Et comme le vitrier était contraint de revenir tous les mois… Heureusement qu’il était loin d’être fauché, Autriche. Mais dommage pour lui, D. ne s’attaquait pas qu’aux vitres… Bon allez, une petite anecdote sur une de ses bêtises, ça vous dit ?

C'était en plein hiver. Il neigeait dehors et D. voulait inventer quelque chose pour réchauffer la maison. Bien sûr, dans la maison d'Autriche il y avait des cheminés mais avec ce que le slovène avait accidentellement renversé sur les bûches, ça ne risquait pas de brûler... il y avait des radiateurs aussi mais disons qu'il y a eu un légèrs accident la semaine précédente, encore provoqué par le jeune homme. En gros, tout le monde avait froid à cause de lui alors il voulait faire quelque chose, plus parce qu'il se les caillait personnellement que pour aider les autres ou se faire pardonner. Bon, dans la maison, il restait encore l'électricité alors il décida de se servir de ça. Donc, il alla dans un endroit de la maison où il pensait pouvoir travailler sans être dérangé : le grenier. Il s'installa tranquillement avec ses affaires et commença son... bidouillage. Il passa un moment avant d'entendre quelqu'un venir. Et qui que ça pouvait être, ça l'embêterait... Bah tient, imaginez, c'est Autriche ! Quand il le verra, il se fera encore crier dessus. Comme d'hab. Et là, il faisait un truc super important alors c'était pas le moment de perdre du temps avec ces enfantillages. Donc, il regarda vite fait autour de lui et aperçut la fenêtre...
...
Il s'en approcha... l'ouvrit (heureusement qu'il était assez grand pour l'atteindre), il passa sur le rebord. Comme il était au grenier, il pouvait atteindre le toit. Il grimpa dessus et attendit. Dans le froid et la neige. Il se dit que niveau efficacité, le toit était pas mal comme planque mais alors niveau confort... surtout en hiver... c'était pas le top. Bah il avait qu'à y penser avant. Il regarda un peu le paysage pour passer le temps, histoire de rester le plus de temps possible ici. Faudrait pas que la personne qui approchait soit toujours là quand il redescendra. C'était magnifique. C'était tout blanc. Les yeux pleins d'étoiles, D. se leva pour mieux apprécier ce qu'il avait sous les yeux et... il glissa. Un toit, ça glisse, et encore plus quand il y a de la neige. Heureusement, il réussit à se rattraper. Il se retrouva sur le ventre, affalé sur le toit autrichien. Son nez avait prit un sacré coup. Mais c'était toujours mieux que d'avoir fait une super descente de là où il était jusqu'au sol. Il y avait plus bénéfique que ça. Il aurait pu finir à l'hôpital avec ses bêtises. Et ce dans le meilleur des cas. Par contre, il sentit un truc glisser de sa poche. Une petite fiole contenant un certain produit chimique. Elle glissa et roula, et le bouchon commença même à s'en aller. Le jeune slovène se retourna pour voir ce qui venait de s'échapper de sa poche et... le produit... il le reconnu directe. Non, petit bouchon, ne t'en va pas... s'il te plait... Et pourtant, il s'en alla. Le liquide commença à se libérer et à peine eut-il touché la neige qu'une énoooorme explosion se déclencha. Eh oui, la neige restait de l'H20... et l'H20 avec du Li, ça a toujours fait une explosion. Et là, il y en a eu une énorme, vu qu'il y avait une grande quantité de ce produit chimique et puis la neige, c'était pas ce qu'il manquait sur ce toit. D. fût projeté en arrière et il se sentit tomber. Et c'est à ce moment-là qu'on est heureux d'avoir des réflexes. Il réussit à se rattraper -encore- à un rebord de fenêtre. Il s'hissa et rentra dans la pièce où se trouvait... Autriche... oups...

-Peut-on savoir ce qu'était cet énorme bruit ?

Pas la peine d'avoir son bac pour savoir que quand on entend un énorme bruit et que le slovène est pas loin -et qu'il vient de faire une entrée plutôt originale- c'est que D. a encore fait une bêtise. Il commença à faire le geste qui fait qu'à chaque fois, on est bien sûr qu'il a encore fait une grosse boulette : il se rongea les ongles. Mais il n'eut pas le temps de gérer l'affaire qu'Autriche alla en direction de la sortie pour voir ce qui avait provoqué ce vacarme. D. le suivi. Et quand ils furent dehors, il sembla à D. l'avoir vu se figer lorsqu'il découvrit le désastre. Et le jeune homme son rongea davantage les ongles en imaginant la futur dispute entre lui et l'autrichien, tout en regardant sa bêtise. Disons que... le toit sur lequel avait été se cacher D... Bah il n'était plus là. Eh oui, le jeune slovène avait détruit le toit... il n'en restait que des tuiles sur le sol enneigé, désormais. Et il ne trouva pas grand-chose à dire pour sa défense si ce n'est un petit

-oups...

Résultat : le temps de réparer le toit, l'hiver était fini et en plus, D. a fait sauter l'électricité le lendemain sans le vouloir. Ce fût l'hiver où les habitants de la maison ont eu le plus froid.

Voilà pour la seconde anecdote de cette histoire. Donc, revenons à nos tubes à essais. Donc voilà, les années passèrent et, un beau jour, Hongrie voulut prendre les choses en mains. Non parce que un peu toute la maison en avait marre de se retrouver... bah sans maison justement... façon de parler, hein. Enfin... Bref. Donc, elle alla voir D. pour tenter de lui faire comprendre qu'on peut tout aussi bien s'amuser avec de l'eau. Et seulement avec de l'eau. Faut la comprendre, la pauvre Hongrie, elle en avait marre de voir Autriche se prendre pleins d'explosions dans la figure. Evidemment, essayer de convaincre D. qu'on peut s'amuser avec juste de l'H2O. Après quelques heures de pour-parler, D. finit par accepter de faire joue-joue avec de l'eau... juste pour lui faire plaisir et puis... sinon, elle ne le lâcherait pas. Mais seulement cette fois-là. Après, il retournerait avec ses trucs chimiques nocifs et compagnie. Hongrie pensait qu'avec un peu de chance, il y prendrait gout à jouer avec de l'eau. Autant dire qu'elle se trompait complètement. Jamais D. n'aurait renoncé à ses expériences scientifiques qui sont toutes de la plus haute importance ! Donc, le plan : il se dépêche de faire joue-joue avec de l'eau, il revient et il recommence son travail. Voilà, ça, c'était un bon plan. Un bon plan qui... dérailla quelque peu. Donc, il avait prix un sceau d'eau et était allé dans la salle de musique d'Autriche pour pouvoir l'aspergé. Bah ouais, si c'était pour faire un truc gonflant, autant embêter quelqu'un en passant. Donc, il se planqua sous le piano et attendit qu'Autriche fasse son apparition dans la pièce. Bah il attendit un moment, hein ! C'est qu'il prenait tout son temps l'autrichien... Comme si D. n'avait que ça à faire... Bon, pour s'occuper, il fouilla un peu ses poches pour y trouver quelque chose d'intéressant. Et tout ce qu'il trouva, c'était une petite fiole avec un liquide à l'intérieur. Et il n'y avait pas d'étiquette. Et sur le coup, D. se demanda ce que c'était. Il ne s'en souvenait plus. Bon, pour le savoir, il n'avait qu'à le faire réagir avec autre chose... Qu'est-ce qu'il avait à disposition ? De l'H2O... Pourquoi est-ce qu'il avait que ça alors qu'il avait trouvé un truc à faire ? Bon, il allait quand même tester la réaction chimique entre le truc et l'eau. Et juste avant qu'il ne verse une goutte du produit dans la flotte, Autriche entra dans la pièce. Ce qui fait qu'il avait pu tout voir de ce qui se passa par la suite. Et vous, vous pouvez le deviner. Le produit était du Sodium... Et le Sodium avec l'eau, ça fait une énorme explosion ! D. fût projeté en arrière et j'aime autant vous dire que le piano sous lequel il était caché n'a pas survécu... paix à son âme... Et Autriche qui avait tout vu. Autriche qui avait vu son piano voler en éclat... Slovénie était mal barré et il le savait. Il se rongea les ongles directs. Et plusieurs à la fois. Là, il savait qu'il courait à la catastrophe. Toutefois, il esquissa un sourire à Autriche... histoire d'essayer d'atténuer les dégâts. Mais c'était peine perdue. Avez-vous déjà vu un Autrichien perdre son sang-froid ? D. oui. Et la scène suivante sera censuré pour garder le mystère de l'autrichien en colère.

**********************************************Censuré*********************************************

Ne soyez pas triste, je vous fais un résumé. Autriche a voulu confisquer tous les objets pouvant se rapporter à la science à D. Mais vraiment tout. Slovénie ne pourrait plus faire ses expériences. Evidemment, il ne se laissa pas faire. Et il...........il....Il enferma Autriche dans une armoire... Je sais, c'est moche mais il ne faut jamais dire de telle menace au petit slovène. Et D. fugua par la suite. Il retourna chez ses parents qui l'accueillirent avec une grande joie (ou une peine dissimulée).

Il reprit sa petite vie normale, il allait en cours et tout le tralala. D'ailleurs... le profs de maths, se moquaient bien de lui. Plusieurs fois, Slovénie a eu droit à la même vanne : Dans un triangle ČRV, je place un point D. Pour bien lui rappeler que son nom était original. Mais mince, il n'était pas le seul à s'appeler comme ça ! Il y en avait d'autres qui s'appelaient D. et d'autres qui portaient le même nom de famille que lui... Seulement, lui, était le seul qui cumulait les deux, et ça faisait bien rire tout le monde. Enfin bref, ce n'était pas très grave. C'est pas le genre de choses qui empêcha Slovénie d'être brillant dans les matières scientifiques... Bon, il avait des bonnes notes aussi dans d'autres moyennes... des notes acceptables... Mais alors en français... Les métaphores, les rimes, les machins, il a jamais compris à quoi ça servait. Bah oui, quand il voyait une poésie, il trouvait ça inutile. Dès que ça sortait du domaine scientifique pour aller dans l'art, il n'y avait plus personne, hein. Alors imaginez ce que ça donnera quand il commencera la philo. Bon, pour l'instant, ce n'était pas encore le cas.

Un jour, il rencontra de nouvelles têtes. Croatie et Serbie. Autrement dit, deux nouveaux cobayes ! Slovénie passait beaucoup de temps en leur compagnie. Les expériences sur ces deux victimes n'arrêtaient pas. Bon, les victimes s'en sont bien sortit. A l'heure d'aujourd'hui, elles n'ont plus de marques des anciennes expériences que D. leur a fait faire. Bon, il n'a rien fait de vraiment trop horrible et il se montrait toujours aimable avec ses deux cobayes. Il voulait juste savoir deux trois trucs. D. est un gentil garçon, il ne ferait jamais de mal à personne sans bonne raison. Et à part ça, ils s'entendaient bien. Slovénie appréciait leur compagnie. Mais un jour, il trouva d'autres personne avec qui traîner -au soulagement de Croatie et Serbie ?-. C'était des personnes avec qui il pouvait parler de science constamment. C'était génial ! Des personnes passionnées par les sciences tout comme lui. Moins passionnées, mais passionnées quand même. Ils étaient trois. Et les trois avaient des nationalités différentes. Un était allemand, l'autre italien et le troisième hongrois... Slovénie passait beaucoup de temps en leur compagnie. Ils avaient des conversations intéressantes que les gens normaux ne seraient pas capables de comprendre. Mais bon, un jour, une énorme dispute. Entre les trois autres, D, lui, restait à l'écart de ce genre de choses. Il ne compris même pas pourquoi ils se disputaient. Mais au final, les trois voulaient rallier Slovénie à leur cause. Les trois ne s'aimaient plus mais ça ne les empêchaient pas d'apprécier D. Et ils n'arrêtaient pas de se chamailler à ce sujet. Et ils faisaient du bruit. Ils étaient casse-pied et au bout d'un moment, notre slovène en a eu marre alors il leur dit

-J'ai qu'à être à tout le monde comme ça c'est réglé...

Retour aux tubes à essaie... Il avait réussit à obtenir 3 minutes de silence. Une pour chacun des énergumènes qui se disputaient. Et officiellement, c'est resté comme ça. Il appartenait à trois idiots qui se bagarraient. J'vous jure... C'était n'importe quoi. Les trois le harcelait constamment pour lui expliquer la culture de leur pays pour montrer qu'ils étaient meilleurs que les autres. Bah maintenant, D. est un véritable livre ouvert sur l'Italie, L'Allemagne et l'Hongrie -en plus de la physique-chimie-. Très vite, il retourna auprès de Croatie et Serbie qui étaient beaucoup plus sympathiques et facile à vivre à son goût. Il y avait aussi pleins d'autres pays qu'il put rencontrer et qu'il commença à fréquenter (de nouveaux cobaye ? Yahou !) et il laissa tomber définitivement les trois imbéciles qui l'embêtait à longueur de journée, déclarant qu'il était bien capable de se débrouiller tout seul. Et il n'y avait pas de soucis. Il avait toujours tous les produits qu'il voulait, jamais de problème d'argent de poche, il avait toujours su gérer ça donc, voilà, il était bien mieux sans eux.

Après, retour à la vie tranquille, il se passa encore quelques années dans sa maison... maison qui a pas mal de fois sautée mais passons. Les parents vidaient leur porte monnaie constamment pour réparer ses bêtises... A lui tout seul, il faisait marcher l'économie de tout le pays avec ses bêtises. Maintenant vous savez pourquoi la Slovénie a une très bonne économie. Parce qu'il y a un petit Slovène en plein milieux qui casse tout et qui fait payer pour pouvoir tout réparer. Eh oui, D. fait marcher un pays à lui tout seul. Faut le faire. Mais bref. Voilà, donc il continua à vivre sa petite vie à peu près tranquille... évidemment, il y a eu des débordements... comme la fois où... Oh ! une anecdote ! Jamais deux sans trois, allez, c'est parti !

C'était par une belle journée. D. se promenait dans la rue à la recherche de deux trois bricoles. Et il trouva par terre un petit sachet contenant une espèce de poudre blanche. Il le ramassa et le regarda attentivement. Il ne savait pas du tout ce que c'était que ce truc-là. Il n'en avait jamais vu. Il garda le truc non identifié et le ramena chez lui. Puis, il s'enferma dans sa chambre et commença à tester pleins de trucs. Il regarda la réaction chimique qu'avait cette poudre avec pleins d'autres produits mais cela ne faisait que confirmer le fait qu'il n'avait jamais eu à faire avec ce machin-là. Mais qu'est-ce que ça pouvait bien être. En plus, ça dégageait une odeur, mais horrible. Bon, ce n'était pas ça qui allait décourager Slovénie ! Y a des produits chimiques qui puent aussi donc il avait l'habitude. Peu après, sa mère monta dans la chambre pour protester contre cette odeur nauséabonde. Et elle cria bien sur son fils quand elle vit ce qu'il avait entre les mains.

- D ! Tu prends de la Drogue !?

Ah ! C'était donc ça ! Voilà pourquoi il n'avait jamais vu ce truc-là. Tu m'étonnes. Il n'avait jamais touché à la drogue de sa vie. On va pas lui reprocher hein. Bon, il a dû mettre du temps avant d'expliquer à sa mère qu'il ne se droguait pas -chose étrange, elle avait du mal à le croire- et qu'il voulait simplement savoir ce que c'était. Ouais, c'est sûr, ce jour-là, il s'était bien fait engueuler...mais bon, à force il avait l'habitude. Ses oreilles, elles étaient immunisées. Donc, après un moment à parler, à expliquer ce qui c'était passé et à plaider son innocence, sa mère lui dit d'aller reposer ça où il l'avait trouvé. Ce qu'il s'empressa d'aller faire. Manque de bol, un policier accompagné d'un chien passaient justement par là. Et il n'avait pas encore eu le temps de reposer son truc de drogue par terre -bah oui, sa mère a dit là où il l'avait trouvé, alors il voulait le remettre là où il l'avait trouvé, c'est-à-dire par terre et allez pas dire qu'il est pas écolo, juste obéissant pour une fois-. Donc, évidemment, le gentil toutou alla flairer le gentil slovène et le gentil policier trouvant ça gentiment suspect, ramena gentiment D. au gentil commissariat. En plus, comme D. avait plein de trucs chimiques nocifs sur lui, ça n'arrangeait rien à l'affaire. Et il avait beau expliquer la situation, il était définitivement mal barré. En moins de temps qu'il n'en fallait pour le dire, les policiers pensaient que D. était un trafiquant de drogue. Génial. Ils appelèrent ses parents. D. dû une fois encore expliquer la situation à son père qui, lui, n'avait rien suivi de l'histoire. Après, il fallait convaincre les policiers. Sans faire exprès, D. fît sauter le commissariat, décidément, il avait pas d'bol aujourd'hui. C'est le genre de choses qui vous font dire que vous auriez mieux fait de rester couché. Bha tant pis, il était levé et dans la mouïse jusqu'au cou. Alors, il était soupçonné d'être un trafiquant de drogue et en plus, il avait fait sauter tout un bâtiment, ne me demandez pas comment il a fait, je sais pas ! Toujours est-il qu'il avait bien réussit son coup, là. Les ongles, il se les ait bien rongés. Ils ont prix un sacré coup. Presque un aussi gros coup que le jour où il avait cassé le piano d'Autriche. Comment est-ce qu'il s'en est sorti ? Bah il a dû touuuuuuut réparer. Et promettre que jamais plus il ne retouchera à la drogue sinon ce serait un allé simple pour la prison. Bon, pour la drogue, il n'y avait pas de soucis, il n'en prenait pas mais pour tout réparer bah... c'était galère. Mais il l'a fait... il a été cherché un peu d'aide quand même mais au bout de plusieurs mois, c'était fini. Happy End

Voilà, Bah, c'était la dernière anecdote de cette histoire... Mais l'histoire n'est pas finie !

Slovénie passait beaucoup de temps chez lui aussi pour être tranquille dans son travail. Les accidents se faisaient nombreux, comme à l'habituel. Puis, un jour, il entendit parler d'un groupe de scientifique. Une sorte de club. Evidemment, D. voulu le rejoindre. Il pourrait toujours apprendre des trucs. Les personnes qui y étaient déjà étaient de tous les âges, de nationalités diverses et variées donc que des personnes différentes. Et dans ses cas-là, il y a plus possibilité d'échange qu'entre des personnes toutes identiques. Donc, il alla s' présenter pour rejoindre le club. Manque de bol, il fit tout exploser. Pour pas changer. Les autres, voyant la ténacité du slovène lui dire que d'accord, il pourrait rentrer dans le club qu'à condition qu'il se calme un peu avec ses produits chimiques...

...très drôle. C'est marrant comment toutes les personnes qu'il rencontrait lui disait de se calmer avec ça... quand on ne lui interdisait pas directement de le faire. Bah tient... sûrement qu'il y avait un autrichien dans le club. Toujours trop raisonnables ces gens-là. Ils s'éclatent jamais !? Bon allez... ne faisons pas des exemples une généralité. Sûrement qu'un jour, il rencontrera un autrichien qui aime s'amuser... et si c'est pas le cas, bah il va falloir faire des expériences sur un des leurs pour savoir pourquoi ils sont comme ça... Pour l'instant, restons-en aux hypothèses... Hypothèse n°1 : ils ne sont pas tous comme ça. Hypothèse n°2 : les autrichiens sont une espèce humaine à part. Voilà, à vérifier.
Donc, pour en revenir au sujet de départ, Slovénie devait faire un peu moins d'expériences scientifiques. Ouais, bah, hein, euh, non. Il devait donc trouver le moyen de faire ses magouilles en cachette. Bon... retour à la maison ! Alors, dans sa chambre, c'est pas discret. Dans le salon, encore moins... dans la cuisine, il y a pas assez de place. Ouais bon, dans sa maison, il valait mieux oublier. Aha ! Idée ! Une cabane dans le jardin ! En principe, on range les râteaux, les pelles et toute la compagnie qui va avec. Alors il passera inaperçu. C'est ce qui s'appelle avoir une idée de génie. Mais maintenant, il fallait la construire la cabane. Et une assez grande quand même... ce serait pas mal... il avait besoin de place. Bon, il se mit à trouver un petit travail vite fait parce que ses parents en avaient marre de payer. Normal, quoi. Au bout de quelques mois, il avait assez d'argent -et nous ne parlerons pas des accidents qu'il y a eu-. Il alla chez un spécialiste qui lui construisit sa petite grande cabane. Il s'installa mais par contre, il devait faire très attention à pas la casser. Il fallait se dire qu'il devait juste tenir le coup. Le temps de rentrer dans le club et après, c'était bon, ils n'auraient plus rien à dire. Donc, il retourna voir les gens du club et là, c'était bon, il était accepté ! Génial ! Et des trucs, il en a appris. Pas tant que ça, mais il en a appris. Eh oui, il devenait de plus en plus dangereux ce type. Ne vous en faites pas, il savait parfaitement ce qu'il faisait... Comme la fois où il a fait exploser le piano d'Autriche... il savait ce qu'il faisait là aussi. Mais bref.(Bon, la personne qui est derrière l'écran se rend compte qu'Autriche apparait souvent au fil de cette histoire alors je tiens à préciser : Je n'ai absolument rien contre les autrichiens, je vous le jure)
Parenthèse mis à part, D. s’amusa bien dans son nouveau petit club qui ne cessait de grandir. Il y avait toujours des personnes qui le rejoignaient et c’était toujours animé. Le bonheur. Bien sûr, il garda contacte avec ses anciens amis. Plus on a de cobaye et mieux c’est alors il valait mieux les garder.

Slovénie était aux anges. Il apprenait, il s’éclatait, il découvrait, il inventait et… il se faisait un peu crier dessus aussi, mais bon, ça, c’est pas nouveau.

Et nous voilà avec notre D. d'aujourd'hui ! Agé de ses 16 ans. Et comme chacun le sait, tout a un commencement, mais aussi une fin. Cette petite vie de bonheur ne faisait pas exception à la règle. Vient le jour où -oui, la vie de Slovénie a tendance à changer du jour au lendemain- il fît une nouvelle invention. Enfin, il essaya. Il était de retour dans sa chambre parce que, comme il l'avait imaginé, sa cabane n'avait pas tenu longtemps. Un petit accident, rien de grave. Enfin, comme d'habitude... il était un peu triste parce qu'il avait bossé comme un fou pour pouvoir se la payer... C'est que c'est pas donné une cabane de cette taille... Enfin, tant pis, il le savait que ça ne durerait pas. Donc voilà, plus de cabane, retour dans sa chambre. Et là, encore, un accident. Une simple goutte d'eau accidentelle dans de l'acide sulfurique (H2SO4) et vlan ! Une belle projection bien dangereuse comme on a l'habitude avec lui. Seulement voilà, D. renversa en prime une solution d'acide nitrique qui fit un énorme trou dans le sol et un peu de Lithium et de Sodium tombèrent dedans. Et juste en dessous, il y avait l'évier remplit d'eau parce que la mère s'apprêtait à faire la vaisselle. Inutile de préciser qu'elle n'a pas eu le temps car il s'ensuivit d'une énorme explosion. Et là, il n'y avait plus de vaisselle. Et pour tout vous dire, il n'y avait même plus de maison. Alors là, les parents, ils piquèrent une de ces colères... Monstrueuse. C'était pas la première fois que la maison sautait mais alors là, ils en avaient plus que marre ! Alors ils ont envoyés leur fils très loin, le temps de réparer la maison et aussi parce qu'il n'en pouvait plus. Là où ils envoyèrent Slovénie, c'était un endroit bourré de pleins de personnes différentes = pleins de cobayes variés = TBIES !

Slovénie a été envoyé à l’Académie Hetalia. Et normalement, il ne devrait pas y avoir de problèmes…

…normalement.



Dernière édition par Slovénie/D. Črv le Mer 29 Déc - 15:10, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: J'ai réussit! j'ai réussit! j'ai *BOOOOM* ...ah bah non...   J'ai réussit! j'ai réussit! j'ai *BOOOOM* ...ah bah non... Icon_minitimeMer 29 Déc - 13:32

Waouh la fiche.... ♥ J'attends l'histoire avec impatience, en tout cas, bienvenue ^^

(par contre, Thalia et les produits chimiques, c'est plutôt une grannnndeeee histoire de haine, donc, bah voilà, quoi.. Fait gaffe où tu mets les pieds, les harpons ça traîne, en ce moment)

[Par mesure de sécurité, la joueuse ne dévoilera pas l'auteur de cette fiche, même si elle a deviné ~]
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Bienvenue autre cousin slave ~ *aime bien le nom "Črv"*
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MessageSujet: Re: J'ai réussit! j'ai réussit! j'ai *BOOOOM* ...ah bah non...   J'ai réussit! j'ai réussit! j'ai *BOOOOM* ...ah bah non... Icon_minitimeMer 29 Déc - 15:56

Niveau fiche y'a pas à dire, ça gère... *se sent minable d'un coup* le perso est... comment dire :D

Rebienvenue XD
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.....humhum fouet *pauvre piano quand même..*


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O_O ... *sens qu'elle va devoir courir après le slovène pour l'empêcher de pulvériser 2-3 trucs là*

Bienvenue ! *va chercher un tube d'aspirine en grand format*
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Re Bienvenue :o *siffle devant la fiche*
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Bienvenue! ^^ *va prendre une sieste*
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MessageSujet: Re: J'ai réussit! j'ai réussit! j'ai *BOOOOM* ...ah bah non...   J'ai réussit! j'ai réussit! j'ai *BOOOOM* ...ah bah non... Icon_minitimeMer 29 Déc - 17:46

Chose. Slave. Non. Identifée. En. Approche.
*va aller cacher tout ce qui est potentiellement exploitable. Et va aussi planquer les trucs de Nica, au cas où*

Re-bienvenue =)
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Rebienvenue alors. :D
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Rebienvenue^^

*excusez la joueuse mais , elle est allez mourir de fangirlisme aiguë à cause du vava....... LAVIIIIIIIIIIIIII oluv *
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Rebienvenue =D
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MessageSujet: Re: J'ai réussit! j'ai réussit! j'ai *BOOOOM* ...ah bah non...   J'ai réussit! j'ai réussit! j'ai *BOOOOM* ...ah bah non... Icon_minitimeDim 2 Jan - 10:57

huhuhuhu, y en a qui ont du souci à se faire.

Merci pour la rigolade à la lecture ! Rebienvenue, et validay.

et faut avoir la foi vu le lag de fofactif ce matin ><""""
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MessageSujet: Re: J'ai réussit! j'ai réussit! j'ai *BOOOOM* ...ah bah non...   J'ai réussit! j'ai réussit! j'ai *BOOOOM* ...ah bah non... Icon_minitimeDim 2 Jan - 11:22

Merci merci ^^ *fait sauter le fouet d'Autriche, ça fait mal ce truc*
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MessageSujet: Re: J'ai réussit! j'ai réussit! j'ai *BOOOOM* ...ah bah non...   J'ai réussit! j'ai réussit! j'ai *BOOOOM* ...ah bah non... Icon_minitimeDim 2 Jan - 14:48

Perkele, mais c'est quoi cette invasion de pays d'Europe de l'Est?? Su-saaaaaan, Daaaaaan, Freeeeeeyr, Thaliaaaa!! Y faut qu'on retrouve Is et Norge!!
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MessageSujet: Re: J'ai réussit! j'ai réussit! j'ai *BOOOOM* ...ah bah non...   J'ai réussit! j'ai réussit! j'ai *BOOOOM* ...ah bah non... Icon_minitimeMar 4 Jan - 21:43

Rebienvenue!
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MessageSujet: Re: J'ai réussit! j'ai réussit! j'ai *BOOOOM* ...ah bah non...   J'ai réussit! j'ai réussit! j'ai *BOOOOM* ...ah bah non... Icon_minitime

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