GRAND FRÈRE EST PÂTISSIER [MONACO]

SIMONE AVAIT ESSAYÉ DE SE LEVER LE PLUS TÔT POSSIBLE AUJOURD’HUI. APRÈS TOUT, IL FALLAIT QU’ELLE ÉVITE À TOUT PRIX DE SE FAIRE ATTENDRE PAR SON GRAND FRÈRE. EN PLUS DE NE PAS LE FAIRE ATTENDRE, IL FALLAIT ABSOLUMENT QU’ELLE AIT LE TEMPS DE BIEN SE PRÉPARER. ELLE N’ARRIVAIT TOUT SIMPLEMENT PAS À CROIRE QU’IL L’AVAIT INVITÉE POUR ALLER LE VISITER À SON EMPLOI.

IL LUI AVAIT DÉJÀ PERMIS DE GOÛTER À QUELQUES UNES DE SES PÂTISSERIES, ET ELLE AVAIT ÉTÉ INSTANTANÉMENT SÉDUITE. TOUTES ET CHACUNE REPRÉSENTAIENT LA JUSTE BALANCE DE SUCRE ET D'ÉLÉMENTS NUTRITIFS. C’EST DONC EN CE MATIN ENSOLEILLÉ QUE SIMONE, ANXIEUSE DE VOIR SON FRÈRE SUR SON LIEU DE TRAVAILLE, SE PRÉPARA ET PARTI DE L’ACADÉMIE, DÉJÀ AU SEPTIÈME CIEL.

CE QU’ELLE N’AVAIS PAS PRIS EN CONSIDÉRATION, PAR CONTRE, EST LE FAIT QUE, SE LEVER SI TÔT POUR ÊTRE CERTAINE DE NE PAS ÊTRE EN RETARD, AVAIT FAIT EN SORT QU’ELLE ÉTAIT PRÊTE UN LONG MOMENT AVANT L’HEURE DE SA RENCONTRE AVEC FRANCIS (ET, PAR LA MÊME OCCASION, D'ARRIVER PLUSIEURS MINUTES AVANT MÊME QUE LES PORTES SOIENT DÉBARRÉES. ELLE EU DONC LA POSSIBILITÉ DE DÉAMBULER DANS LES RUES MARCHANDES DE LA VILLE, EN GARDANT BIEN TOUJOURS UN ŒIL SUR UNE HORLOGE OU SA MONTRE. LA VILLE NE FAISAIT QUE S'ÉVEILLER, LES RUES ENCORE VIDES, ALORS QUE, QUELQUES HEURES PLUS TARD, ELLES ALLAIENT ÊTRE NOIRES DE GENS.

DÈS QUE L’HEURE PRÉVUE POUR SA VISITE ARRIVA, ELLE ENTRA DANS LA PÂTISSERIE, EN CHERCHANT SON FRÈRE DU REGARD, ESPÉRANT LE TROUVER LE PLUS RAPIDEMENT POSSIBLE. POUR UNE RAISON QU’ELLE SEULE IMAGINAIT, ELLE CROYAIT QUE, SANS SON FRÈRE, ELLE ALLAIT SE FAIRE INTERDIRE L’ENTRÉE DANS CE... VÉRITABLE PARADIS SUR TERRE, ET DANS LEQUEL, EN TANT QUE PÂTISSIER, FRANCIS ÉTAIT UN DIEU.

Spoiler:

À chaque fois que quelqu’un poussait la porte, une cloche résonnait dans le magasin, indiquant à France qu’un client avait entré dans la boutique. Le pâtissier blond s’arrêtait alors, peu importe la tâche et lançait un ‘bonjour’ enthousiaste avec son plus beau des sourires. Francis avait rapidement découvert que ses chiffres de ventes battait des records lorsqu'il accueillait avec un grand sourire. Ce matin-là lorsque la cloche résonna si tôt, le Français sût immédiatement que c’était sa petit soeur qui venait le voir. Terminant rapidement de mettre dans le four la pâte pour d’éventuels éclairs aux chocolat, Francis s’arrangea rapidement les cheveux et essuyases mains sur son tablier avant de se tourner vers la Monégasque.

"Bon matin mon coeur. Ça n’as pas été trop difficile de se lever si tôt ?"

S’approchant de Simone, il posa un baiser sur son front comme à son habitude. Il montra ensuite les présentoirs remplits de pâtisseries, expliquant pourquoi il avait tel dessert plutôt que l’autre, lui disant parfois un ingrédient secret par-ci par-là. Il ajoutait alors d’un ton gentment moqueur:

“Mais ne révèle pas mes secrets.”

S’en suivait un clin d’oeil et les explications reprenaient leurs cours. Les yeux remplit d’étoiles, Francis fini la mini visite guidée, prenant la main de sa soeur dans la sienne.

“Tu peux choisir les pâtisseries que tu veux.”

Francis tapotta gentiment la tête de sa soeur, la laissant choisir pendant qu’il retournait à ses fourneaux pour sortir ses éclaires aux chocolats. Posant les moules brûlant, il s’attaqua à la coustarde qui avait un peu trop durcit à cause du froid. Battant avec énergie dans un bol, le Français restat à l’affut de la voix de sa soeur annonçant qu’elle avait choisit sa patisserie.

» Lettres à mon frère... qu'il ne reçevra jamais
» Nouvelle arrivée...mais c'est trop grand ici >.< [PV Prusse+Portugal+Brésil+Autriche]