| | | Papa, Paparazzi [Libre] |  |
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Føroyar/Freyr Olsen
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| Sujet: Papa, Paparazzi [Libre] ![Papa, Paparazzi [Libre] Icon_minitime](https://2img.net/i/fa/icon_minitime.gif) Dim 23 Jan - 17:13 | |
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D’une simple pression la machine se mettait en marche, lançant un flash face à elle, permettant ainsi de figer un instant de l’espace temps.
C’était sans doute pour cela que Féroé appréciait la photographie, une autre vision du monde s’ouvrirait ainsi travers les photos prises, on pouvait capturer un souvenir.
Sur une photographie on pouvait aussi sourire et avoir un air de tout va bien alors que la réalité était autre, l’instant prit pouvait être fictif et monté de toute pièce, le trucage était devenu chose courante à époque actuelle.
Il aimait mémoriser des instants pour éviter d’oublier, possédant des albums entiers d’événements comme les festivals ou des plus banales, un simple moyen de garder près de soi une image des personnes chères.
Un côté pratique qui se mélangeait à l’émotionnelle, qui fait souvent sourire quand on la regarde et qu’on aime partageait avec les autres, une définition que le blond donnait à une photo.
Le club de photographie dont il faisait parti pouvait donc avoir la charge d’immortaliser certains événements au sein de l’Académie, de montrer le côté « sympathique » des lieux au nom de ce cher Directeur, ce qui parfois pouvait paraître ennuyant aux premiers abords mais il appréciait tout cela.
Derrière l’objectif il pouvait faire ce que bon lui semble et enlever un brin de timidité, il était peut être un peu plus extravagant dans ces moments là, parce qu’il est plus facile de se cacher derrière un appareil. Pas besoin de se forcer à sourire quand on prend la photo au moins ou de faire semblant, le photographe est exclus du cadre et à juste à prendre l’instant clé, il regarde en quelque sorte une vitrine auquel il n’appartient pas.
Tentant ainsi de capter au mieux le monde qui l’entoure, de montrer aux autres ce qu’il voit réellement de son côté ou quelque chose qui lui tien à cœur.
Féroé se réveilla mollement dans son dortoir, où seuls les ronflements de Danemark venait perturber le silence des lieux, regardant son réveil juste à côté qui indiquait 4h24 du matin.
Il resta couché paresseusement quelques instants, se frottant les yeux pour stimuler la réactivité du cerveau, puis termina par se lever en s’étirant le dos.
Se dirigeant dans le noir à l’aveuglette vers la salle de bain, manquant au passage de tomber une vingtaine de fois à cause d’objets qui traînaient au sol comme la stupide crosse de hockey de Tino -il lui fera bouffer un jour-, passant devant les lits des autres nordiques.
Un coup de douche froide pour bien se réveiller, brossage des dents et tout le tralala qui va avec, s’habillant ensuite d’une chemise noire retournée aux manches, jean de la même couleur et cravate blanche pour le style.
Délicatement il tira ses cheveux indomptables vers l’arrière, il ne les aimaient pas spécialement et ça paraissait réciproque, sa « toison d’or » qu’il détestait.
Ils ressemblaient trop à ceux de ses frères, avec peut être un peu plus d’épis qui les rendaient presque impossible à peigner, convaincu qu’un jour il y ferait une teinture dessus par défaut de pouvoir les couper trop courts.
Une fois habillé il retourna à son lit, sortant de dessous une sacoche qu’il prit délicatement, l’ouvrant pour vérifier le contenue puis la ferma, prenant au passage ses lunettes de soleil aux carreaux bleus pour les placer sur sa tête.
Sans bruit il quitta la chambre de l’Aile Nordique, pas une âme qui vive dans les couloirs de l’Académie, il devait sans doute avoir de l’énergie à revendre pour se lever si tôt.
Ou plutôt pas mal d’insomnies qui ne le fatiguaient plus, et si jamais un coup de barre se présentait dans la journée il lui suffisait juste une dose de sucre pour repartir, mais qui pouvait l’endormir presque d’un coup.
Arrivé dehors il rouvrir sa sacoche pour en sortir un appareil photo dont il attacha la bandoulière autour de son coup, prit l’objectif zoom qu’il accrocha au bout de l’objectif, se disant qu’il pourrait utiliser un filtre de couleur plus tard.
Et bien qu’il faisait froid ceci ne gênait pas le blond trop habitué aux basses températures, observant les lieux pour trouver quelque chose à photographier, la pleine lune éclairant parfaitement le coin.
Restant immobile en attendant l’inspiration divine, il fixa le ciel où de nombreuses constellations apparaissaient, être réveillé à cette heure n’était peut être pas un avantage en y repensant.
Freyr se rendit alors sur le terrain de sport pour s’asseoir dans les gradins et pourquoi pas s’y allonger aussi, profitant du calme qui était plutôt rare à bien y réfléchir avec la famille de dingue qu’il avait.
Pas qu’il la détestait loin de là, mais parfois elle pouvait se montrer bien trop étouffante sans s’en rendre compte, un peu de liberté ne faisait pas de mal aux gens.
Il regarda alors l’heure sur sa montre… 4h58. Décidément le temps ne passait pas vite, et l’inspiration ne venait toujours pas.- Spoiler:
Oui j'avoue, j'aime Lady Gaga XD. Rp ?
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| | | | Éire/Abigail O'Neal
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| | Sujet: Re: Papa, Paparazzi [Libre] Dim 23 Jan - 22:29 | |
| Bip...bip...bip...
"-Mais la feeeeeerme.... !" s'exclama l'irlandaise à son réveil.
Elle se redressa doucement histoire de pouvoir voir l'heure qu'affichait le réveil...4 h 00...4 h 00 AM ? ! Mais pourtant elle croyait l'avoir mis à 4 h 00 de l'après-midi ! Ah ouais... Elle avait changé de réveil et celui-ci n'étant pas aussi sympa que l'ancien... Il était gris et tout moche comparé à l'autre qui était VERT et qui avait la forme d'une GRENOUILLE. Le pire était que pour vouloir qu'il sonne à 4 h 00 de l'après-midi, il fallait le mettre à 16 h 00 et Abigail ne s'était pas du tout habituée à se fonctionnement...Bah après tout c'était de sa faute, elle l'avait lancé à bout de bras, il n'y avait pas si longtemps, en l'entendant sonner. Puisqu'elle n'avait pas vraiment envie de se recoucher pour se rendormir, la demoiselle se leva doucement de son lit tout en s'étirant."-Nyaaa ! ! ! "
Abi se pencha doucement pour aller toucher la pointe de ses pieds, elle aimait bien faire cela le matin et nul ne savait pourquoi, même pas elle. Entre un léger bâillement et un grattement de tête, la jeune fille se dirigea vers son armoire. Elle ouvra la porte et se dépêcha à choisir ce qu'elle allait mettre...Bon, selon son horaire habituel, quand elle se levait à temps, il y avait la course sur le terrain de sport histoire de se garder en forme. Donc le choix n'était pas très difficile, un simple ensemble de sport vert et blanc et de simples sous-vêtements pour le sport. L'Irlande s'en alla donc dans la salle de bain de la salle anglo-saxonne. Avant, comme de raison, elle frappa à la porte voir si quelqu'un s'y trouvait avant elle...Bon, personne...
La rouquine se changea rapidement. Ah... Le chandail était mis à l'envers. Abigail le retira pour ensuite le remettre du bon côté, elle n'avait quand même pas envie d'avoir l'air idiote en portant un chandail à l'envers même si cela lui semblait quasi impossible qu'il y aille beaucoup de monde à cette heure sur le terrain... Elle empoigna vivement sa brosse à dents et le dentifrice, hors de question de négliger son hygiène dentaire...Par la suite, elle attacha ses cheveux en une simple queue de cheval pour sortir rapidement de la salle de bain...Tant pis pour les vêtements, un de ses frères les ramassera...Haha... Elle finit par enfiler ses souliers de sport et sortir d'un pas rapide.
Le couloir était vide, il n'y avait personne...C'était très calme...Arrivée près de la porte de sortie, Abigail poussa celle-ci pour remarquer que le ciel était encore noir, même si vraiment au loin on pouvait voir le début du lever du soleil...C'était joli. La demoiselle sortit son Ipod de sa poche, mis les écouteurs dans ses oreilles et alluma celui-ci. Le vent hivernal lui tapa au visage, mais bon, elle était venue ici pour courir, elle aurait donc chaud à un moment donné et puis les rhumes avaient fini par l'apprivoiser avec le temps...
Direction la piste de course qui était couverte d'une légère couche de neige, mais ce n'était pas si grave que cela, il y avait déjà eu pire. À peine s'était-elle mise à courir qu'elle remarqua que quelqu'un semblait couché sur les gradins... L'Irlande regarda sa montre...4 h 59... Elle n'était donc pas la seule dehors à cette heure...Enfin bref, piquée par sa curiosité, elle décida d'aller voir qui pouvait bien être là. Abigail grimpa les gradins deux bancs par deux, enfin presque deux puisqu'elle tomba entre les deux puisque sa jambe n'atteignait pas le deuxième banc, bancs pour finalement arriver à la personne qui était là. Elle retira les écouteurs de ses oreilles et s'assit sur le banc du gradin.
"-'Alut..." dit-elle en baillant . - Spoiler:
Je me suis permis de répondre =3 ^^.
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| | Sujet: Re: Papa, Paparazzi [Libre] Dim 30 Jan - 11:02 | |
| Couché dans les gradins il ne s’était nullement préoccupé de la neige, cette eau gelée était bien trop banale à son goût pour s’y étendre et en faire des éloges, préférant observer le ciel calmement.
Depuis qu’il était petit il faisait ainsi pour réfléchir, à croire qu’il était juste devenu un grand garçon physiquement, s’imaginant les grands vikings sur leurs drakkars s’orienter avec les étoiles.
Fabuleux peuple que celui de ses ancêtres qui avaient le sens de la fête entre alcool et raid sanglant en Europe, craints de tous avec leurs forces et leurs mythes barbares, l’âge d’or des pays nordiques.
Et la réflexion se déporta sur petit à petit sur l’existence des nations, si ici ils étaient les premiers où si d’autres bien plus anciennes que les professeurs avaient existées, ou même comment elles mourraient.
Freyr était curieux de nature, et là il était face à des énigmes pour le moins intrigantes puisque la plupart des réponses pouvaient aider les élèves à comprend leur situation, et pour trouver des réponses ça aller être assez compliqué.
Il se prenait certainement la tête pour rien d’ailleurs comme la plupart du temps, réfléchir lui donnait trop mal à la tête en plus, dérivant de la divine inspiration qui pouvait lui être accordée.
C’est fou comme une simple observation pouvait le déconcentrer très vite, d’ailleurs son grand frère semblait être pire à bien y regarder, peut être d’une raison pour laquelle on pouvait le qualifier de bizarre. Le blond n’aimait pas particulièrement rentrer dans les rangs comme on dit, ce qui lui des drôles de lubies comme conduire une moto ou vouloir tester des recettes culinaires immangeable.
La main sur son appareil il était complètement inconscient de ce qui se passait autour, il pouvait se passer un défilé de majorette sur le terrain de sport sans même qu’il le remarque, c’est pourquoi il n’entendit pas quelque un monter dans les gradins.
-'Alut...
Une voix qui semblait lui parler, à moins que ceci était son imagination ou alors une créature mythique qui tentait de communiquer avec lui, d’ailleurs elle semblait féminine et un peu étouffé.
Féroé s’assit sur le gradin et remarqua enfin Abigail qui venait de lui parler, elle était tranquillement assise elle aussi avec un ensemble vert et blanc de sport…De sport….Sport…
Ça fit tilt d’un coup dans son esprit, il avait complètement oublié le premier cour soit celui de sport, bon tant pis il simulerait un mal de jambe atroce en espérant que ceci marche.
Mais bon il se sentait nouille quand même d’avoir oublié cela, pas qu’il détestait le sport loin de là, il passerait juste pour un idiot encore.
Il continua de regarder la demoiselle face à lui, se disant que le temps faisait des choses extraordinaire car il n’y a pas si longtemps que cela tout deux avaient eu un certain différent, elle serait la futur Irlande et en quelque sort l’une des plus proches voisines.
Comme quoi les ennemis d’hier pouvaient devenir les meilleurs amis d’aujourd’hui, et inversement, bien qu’entre pays il fallait mieux garder la paix que de se faire la guerre.
- Je t’ai pas entendu monter…T’es bien matinale.
Il sortit un paquet de gâteau de pochette de photographie, l’ouvrant pour laisser apparaître des cookies, faut dire qu’il avait encore rien mangé ce matin.
Freyr en prit un, tendit le reste du paquet à la rouquine, commença à le manger tranquillement en regardant le terrain couvert de neige.
Puis son regarda se reporta sur Abigail, il s’arrêta net de mâcher le délicieux cookie goût chocolat avalant le tout d’un coup.
Délicatement il souleva son appareil photo, plaça correctement son objective et la prit en photographie.
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| | | | Éire/Abigail O'Neal
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| | Sujet: Re: Papa, Paparazzi [Libre] Dim 30 Jan - 13:08 | |
| La demoiselle avait légèrement froid aux fesses en étant assisse sur la neige, mais bon, elle n'avait pas trop envie de rester debout sur les gradins ? Pourquoi, se connaissant Abigail aurait pu tomber en bas de ceux-ci, ce qui aurait été vachement vexant pour son ego. Bon, ce n'était pas si froid que cela, pas comme avoir des glaçons à la quantité énorme dans le chandail. Oui, oui, on lui avait déjà fait cela, elle était tellement surprise qu'elle n'avait rien pu faire et elle s'était donc retrouvée avec le dos complètement rougit par le froid. L'Irlande avait promis de se venger, mais malheureusement, elle n'avait aucun souvenir de qui lui avait fait cela, mais bon.
- Je t’ai pas entendu monter…T’es bien matinale.
Matinale, c'était le cas de le dire. Abi n'était pas du genre à se lever si tôt. Il y avait les lève-tôt et les lève-tard, la jeune fille faisait partie des lève-tard par excellence, ce qui était un peu normal puisqu'elle était également une couche-tard et par-dessus tout, une paresseuse puissance dix. Son lit, c'était quasiment son royaume et elle en était la princesse, évidemment. Peu importe qui essayait de la réveiller risquait de se voir mordre par cette rouquine au tempérament du tendre félin que l'on appelle Tigre. Tigre Celtique... Elle avait tellement bien porté ce surnom à cause de son comportement, malgré que celui-ci ait plutôt rapport avec l'économie. La demoiselle s'étira doucement avant de répondre.
" -Hmn...C'est que j'ai mis mon réveil à 4 h 00 AM par accident à la place de 4 h 00 PM, j'ai économie aujourd'hui que je voulais pas y aller..."
Et comme quoi l'ironie du sort frappe souvent... Et surtout lorsque la demoiselle essaie de faire en sorte de ne pas aller en cours d'économie. Maintenant, c'était le réveil, mais des fois, elle tombait face à face avec son père en tentant de retourner discrètement dans l'aile celtique ou à l'infirmerie pour se faire passer comme étant malade et bien-sûr, "Papa Dinausore" comme elle l'appelait, la tirait quasiment par l'oreille pour la trainer en classe. Que c'était dommage, être nulle en économie, mais bon, il fallait de tout pour faire un monde. Si tout le monde était pareil, cela ne serait pas marrant du tout.
L'Irlande remarqua que Féroé lui tendait des cookies, elle les prit donc avec enthousiasme. Il faut dire qu'elle n'avait pas mangé ce matin et comme elle était un estomac sur pattes, Abigail avait presque toujours faim et ce qu'elle préférait c'était les trucs sucré. Si Féroé lui avait proposé du tofu, elle n'en aurait pas pris parce que ce n'est pas assez sucré !
"-Merci !"
La jeune fille croqua doucement dans un des biscuits, c'était bon. Un petit sourire se dessina sur son visage. Une fois le biscuit finit, elle en prit un second pour ensuite le manger. C'est à cet instant, elle remarqua que Freyr l'avait pris en photo. Cela lui rappelait le temps durant lequel, elle s'amusait à prendre plein de photo, certes elle n'était pas très bonne, mais cela l'amusait. Elle aimait par-dessus tout voir le visage des gens qui se faisaient prendre en photo par surprise...
"-T'aimes bien prendre des photos, on dirait..." | |
| | | | Føroyar/Freyr Olsen
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| | Sujet: Re: Papa, Paparazzi [Libre] Lun 21 Fév - 19:02 | |
| - T'aimes bien prendre des photos, on dirait..." Freyr réfléchit au sens de ces paroles, si il prenait ses photos c’était vraiment juste dans le but de prendre que des photographies ou il y avait autre chose derrière, à ses yeux ce n’était pas que de simples images.
Il avait juste voulu capter ce moment pour en garder un souvenir, et quand il regarderait plus vieux cette image il ne se dirait pas juste que c’était Irlande dessus, non il se remémora bien plus que cela.
Tout d’abord que c’était un matin où la neige était tombé, qu’il faisait encore assez nuit mais qu’il n’avait pas eu besoin du flash, qu’il avait oublié ses affaires de sports contrairement à la rousse, qu’ils avaient tout deux mangé des cookies, ou encore qu’il avait été surprit par cette rencontre à cette heure ci, autant de détails qui se trouvaient sur cette photographie
Ainsi ce n’était pas qu’un simple loisir pour lui, c’était une sorte de moyen mémo technique pour se rappeler de certains jours marquants de sa vie ou qu’il avait apprécié, mais ce n’était que son point de vue face aux autres.- On peut dire ça comme ça…Je pense…Un sourire se dessina sur ses lèvres, peu être un peu crispé de ne pas vraiment exposer ce qu’il pense vraiment, préférant par le même occasion ne pas rentrer dans un débat qui lui donnerait mal à la tête.
La problème de la timidité qui avait assez tendance à s’atténuer avec le temps, il faut dire qu’il faisait des efforts pour que ceci arrive en commençant par aller parler aux autres, même si il préférait rester généralement avec ses frères.
Mais bon il avait bien compris qu’il ne pouvait pas rester indéfiniment avec sa famille, il fallait qu’il prenne un peu d’autonomie quand même, et ça restait assez compliqué pour lui.
Sa famille il pouvait l’adorer comme la détester, il l’apprécier pour les moments de complicité passés et ne la supportait plus quand ça se disputait dans n’importe quel sens.
Et puis il repensa à la phrase qu’avait annoncé Abigail plus tôt le porta sur une autre réflexion, les gens n’avaient pas du tout la même vision du monde selon un sujet, on ne portait pas le même intérêt à quelque chose. Dans la vie on se bat pas pour les mêmes causes, peut être que c’était pour que les êtres se repliaient sur eux, ou encore qu’on fait semblant de ne pas voir les actions qui ne nous touchent pas directement. Le monde allait mal à cet instant, il fallait juste espérer que ceci n’était qu’une mauvaise passe.
Freyr regarda de nouveau la rousse, ne sachant pas vraiment quoi lui dire, bien qu’il était plus sociable que la plupart des gens de sa famille, il séchait complètement sur un sujet de conversation.
Pas que la jeune fille était méchante ou autre, bien que par moment elle pouvait faire preuve d’une bizarrerie sans nom, mais peut être que les périodes de mal entente étaient trop encré malgré tout.
C’était stupide de penser à cela, ou peut être pas au font, car la tout ceci était bien terminé depuis longtemps.
À croire qu’il était pas si autonome que ça en fin de compte, c’était un bilan décevant à constater à cet instant, il avait de sacrés progrès à faire encore.
Il fallait qu’il se creuse la cervelle un peu, bien que ceci n’était pas spécialement son fort, portant son attention sur son appareil photo.
À la base il était ici pour prendre des photographies, alors autant jour le rôle à fond non ?- Ça te dérange si…On fait genre un shooting photo ? Pour le délire.- Spoiler:
Pardon pour l'attente
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| | | | Éire/Abigail O'Neal
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| | Sujet: Re: Papa, Paparazzi [Libre] Mer 23 Fév - 2:18 | |
| Ce temps durant lequel elle prenait des tas de photos lui manquait... Ces jours durant lesquels elle se glissait comme une espionne pour photographier les gens sous toutes leurs coutures... Souriant, pleurant, se bataillant... Elle prenait les allures d'une paparazzi durant ces moments, si on pouvait la décrire ainsi. Cela lui manquait... Sortir son cellulaire ou bien son appareil photo et appuyer sur le bouton permettant de prendre une photo, le son que celui-ci faisait... Les lumières presque aveuglantes du flash. Tout cela, c'était il y avait à peine quelques mois, presque une année... Elle avait arrêté puisque cela emmerdait les gens... Abigail voulait tellement avoir des amis...Ne pas être seule comme elle l'avait parfois été étant plus jeune, non plus jamais...Jamais... L'amitié ? Un truc que l'on décrivait comme étant une source de joie, de bonheur, d'allégresse, de quoi en faire les plus belles phrases poétiques, les plus belles comparaisons, métaphores, rimes... Des poèmes du monde entier s'enfilaient sur le thème de l'amitié...Tel l'amour, on la décrivait comme une forme de relation qui donnait des ailes, mais parfois les coupait. Des poètes avaient consacré une partie de leur encre, de leur stylo, de leur temps à composer de magnifiques vers sur cette sensation loin, mais pourtant si proche de l'amour... Pourtant... L'amitié était si dure à gagner réellement, mais si facile à perdre... L'amitié, c'était un bien précieux et pas qu'un peu..."Qui trouve un ami trouve un trésor" avait dit un proverbe latin, mais qui perdait un ami perdait aussi une partie de lui, peut-être... Abigail était prête à renier bien des trucs pour plaire aux gens... Pour avoir des amis...
Il y avait quelque temps, elle s'était embrouillée avec Féroé... Un peu...Beaucoup. Et cela était malheureux. L'Irlande n'avait vraiment pas été sympathique sur ce coup-là. Elle voulait se racheter, avoir une bonne entente avec le garçon... Malheureusement, on ne pouvait pas effacer le passé. Le passé, ça ne s'effaçait pas, certes il pouvait s'oublier, mais il restait toujours encré au fond de la mémoire, au fond de soi, près à ressortir lorsque l'occasion s'y présenterait... La vie n'était pas toujours juste. L'ennui, la bêtise ; humaine ou peu importe, la tristesse et le malheur, personne n'y était à l'abri. Ces mauvaises choses sortaient pour embêter les mortels... Rien ne laissait dire que toute cette dispute qui avait pris forme, qui s'était accrochée à des ondes de haine, entre elle et le Nordique ne referait surface, comme rien ne laissait présager que peut-être demain il y aurait une tornade ou un ouragan. Rien. Peut-être qu'un jour elle se réveillerait un matin en aillant la fratrie nordique sur le dos. Tout pouvait arriver... Les possibilités n'avaient pas de limites.
La jeune fille leva les yeux au ciel, sans raison apparente. Ah, oui, il y avait une raison. Réfléchir un peu. Sur quoi ? Sur ses cheveux roux, bien évidemment... Ouais, depuis un certain moment, elle se demandait pourquoi elle avait eu les cheveux roux comme sa mère et non les cheveux blonds telle la longue chevelure blonde de son père. Non, pas qu'elle n'aimait pas le roux, mais plutôt qu'elle aimait bien se poser des questions comme celles qu'elle se posait étant plus jeune. Elle se rappelait des questions qu'elle posait à son père lorsqu'elle revenait de l'école... Les questions sur la vie, sur tout, sur rien. Les questions que posaient les enfants. En plus de cela, Abigail avait toujours été très curieuse, donc son père se faisait souvent questionner et ses frères aussi. La demoiselle n'avait pas grandi avec une maman à ses côtés, ce qui faisait que son père devait aussi répondre aux questions qui concernaient plus les filles... Encore aujourd'hui, ils subissaient sa curiosité. Pas qu'eux, tout le monde maintenant, contrairement à lorsqu'elle était plus jeune. Le temps répondait à bien des questions, mais la patience n'avait pas pris la gouverne de la demoiselle rousse, malheureusement.
La rouquine balançait un peu ses pieds sous le banc du gradin. Après un moment, elle commença à se tanner de balancer ses pieds, surtout qu'elle faillit perdre une chaussure sous le banc et que cela ne lui tentait pas plus que ça de descendre les gradins pour aller chercher sa chaussure. Elle était paresseuse le matin, encore plus qu'elle ne l'était le reste de la journée. Donc, non ! Pour combler le vide ennui qui régnait au niveau de ses pieds, la demoiselle commença à faire des anges dans la petite neige, qui avait tapissé les gradins et le paysage, avec ses pieds. Cela était amusant, elle en riait presque. Non, elle ne riait pas, elle ne voulait pas vraiment que Féroé la prenne pour une espèce de folle qui riait toute seule. Bon, elle aurait pu mettre cela sur le dos de la fatigue, mais quand même. Malheureusement, il n'y avait pas assez de neige pour continuer à en faire, puisque celle-ci avait fondue sous la chaleur des souliers de la demoiselle. Abigail s'en alla pour appuyer sur la joue de Féroé lorsqu'elle entendit sa proposition.
-Ah ! Ça me plait comme idée ! Répondit-elle en souriant.
Une pensée traversa la tête de la jeune fille... Un shooting photo, cela lui plaisait bien. Lorsqu'elle était plus jeune, vers six ou sept ans, la demoiselle qui avait beau être plus ou moins murée dans son silence rêvait d'être une princesse comme bien des jeunes filles... Certes, maintenant, ce rêve était encore présent dans le côté de la jeune fille qui reniait le monde réel, préférant s'évader dans un monde imaginaire. Bon, retournons au sujet, elle n'avait pas que ce rêve, elle voulait aussi poser pour des vêtements de poupée., mais cela était un détail. Elle n'était pas en vêtements de poupée en ce moment, ni sur le chemin pour poser pour une revue de vêtements de poupée, mais bon.
- Spoiler:
C'est pas grave. ^^
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| | Sujet: Re: Papa, Paparazzi [Libre] Ven 18 Mar - 18:03 | |
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Prendre une photographie c’était bien, mais lorsque celle-ci porte un thème ou provoque même un sentiment quand on la regarde c’est encore mieux, en prendre trop ça n’a plus aucun intérêt du moins à ses yeux et qui n’est certainement pas le point de vue de tous.
La photographie c’était l’un des seul véritable moyen d’expression qu’il avait trouvé même si certains comprennent encore moins ainsi, devenue rapidement très répandu dans son pays où le coût d’une pellicule pouvait être deux à trois fois supérieur à celui d’un autre pays, bien qu’il faisait plus ça pour lui que pour les autres.
C’était une partie de sa vie qu’il mettait sur papier pour se souvenir et voir le parcours qu’il avait parcouru depuis le temps, observer et remarquer ce qui avait changer depuis la dernière fois ou une date bien plus antérieur en tentant de se rappeler ce qui c’était passé, gardant les plus importantes dans un album bien spécial. Un livre spécial qui cache une partie de ce qu’il ressent vraiment envers les personnes qu’il avait pu rencontrer de près ou de loin, avec notamment des photos qui avaient depuis bien longtemps fait leurs temps et qui jaunissaient à vue d’œil, les plus précieuses où on pouvait voir les Nordiques pas plus grand qu’un mouton adulte, une époque où on pouvait encore voir leur mère à tous en compagnie du si strict paternel.
Art devenu donc aussi célèbre que ces petites boules de laine sur pattes qui gambadent joyeusement dans les plaines vertes, doux animal qui faisant tant la renommer de son pays comme certains autres d‘ailleurs, on favorisait autant les arts vu que les fêtes sur son archipel.
Ça la fête il appréciait hautement faut dire et peut être même un peu trop, les traditionnelles avec la danse et la musique folklorique propre à sa culture, où l’alcool en général coule à flot dans ce genre d’occasion surtout si c’est jour national.
Un peu de joie dans son monde de noirceur c’était pas mal non ? Après tout son prénom était le même que le dieu nordique de la joie, alors il aimait voir de la bonne humeur qu’il mettait généralement sur photographie, il n’y avait rien de tel que des visages familiers souriants pour vous remonter le moral.
-Ah ! Ça me plait comme idée !
Cette séance de photographie aux environs de cinq heures du matin ne ferait peut être pas non plus exception, il aller s’amuser le plus possible en la faisant et d’ailleurs la face réjouit de la rousse semblait indiquer la même chose, elle respirait la bonne humeur aussi et du peu que Freyr avait pu voir elle aussi aimait bien se distraire. Des chants et danses traditionnels assez proches si on se penchait bien, rien d’étonnant pour sa part quand on sait que les premiers habitants de l’archipel des Féroé étaient des Irlandais, enfin d’après ce qu’il se dit bien que rien n’a pu prouver cette hypothèse, que la Norvège aurait gentiment délogée dans un raid viking avec un bain de sang.
La proximité entre leurs deux pays faisait peut être qu’ils s’entendaient bien et qu’ils possédaient des points communs dans leurs cultures, il devrait en parler avec Abigail tiens pour savoir ce qu’elle en pense de son côté. Et le sourit que la jeune fille lançait n’annonçait que des bonnes choses, une joie communicative qui le faisait lui aussi sourire face à tant d’entrain, rien n’était mieux que la bonne humeur en ce bas monde.
Bon il était vrai aussi que la tenue de la rousse était loin de ceux aussi charmant qu’on voyait dans la plupart des magazines ou autre, la tenue de sport c’est pas forcément vu comme très glamour, quoique à bien y regarder il y en avait des mal maintenant et puis celui d’Irlande lui allait bien, tout vert comme un trèfle pour apporter la chance sur soi et qui se mariait à perfection avec ses yeux et cheveux, ou peut être parce qu’elle appréciait tout simplement la couleur verte.
Pour le coup Freyr se prenait la tête vraiment pour rien, se demandant si il devait mettre un filtre couleur su l’appareil, si oui quelle couleur, ou le laisser sans rien, si plutôt il mettait l’objectif en noir et blanc ce qui pouvait être pas mal… Puis ensuite il y a avait la forme générale de la photographie avec un zoom ou non, l’éclairage qui allait avec, la taille de l’image, en paysage ou portait, et autre.
Au fond la photographie n’avait rien de simple quand on se prend au jeu, qu’on souhaite faire de grande chose avec, il fallait lui donner une âme à cette photo quoiqu’il arrive, avec un tas d’outils différents où il faut en apprendre le moindre petit effet, et quand tout ceci était terminé il y avait une certaine satisfaction grandissante à observer le résultat.
Le nordique observa les lieux aux premiers abords, le contexte était chose importante et il fallait savoir tirer du maximum du décor aux alentours, voir ce qui irait le mieux avant de déclencher l’appareil.
Un terrain de sport recouvert de neige comme les gradins, Abigail toute habillée de verte en cet fin d’hivers gelé. Et une petite idée fit son apparition doucement, avec ce sourire si radieux que la jeune fille pouvait exposé en plus, il avait maintenant un thème en quelque sorte.
- Tu seras comme une dose de printemps et de soleil dans ce décor hibernal.
Le blond sourit tout simplement, lui indiquant de faire ce que bon lui souhaitait comme sauter ou même courir, après tout à bien y réfléchir les règles de bases pour une technique sont faites pour être transgressées. La rousse était comme l’une des nymphes qu’on pouvait voir dans la mythologie, libre et toujours souriante, c’était bien plus agréable ainsi au font que d’imposer une pose ou autre.
Le plus important c’est de s’amuser dans la vie, il leva donc son appareil et se mit à prendre la jeune fille en photographie.
C’était aussi ça un paparazzi : prendre des photos inattendues des personnes.
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