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Pays que vous représentez : République slovaque (Slovaquie)
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Langues que vous parlez : Le slovaque est sa langue maternelle et il parle sans trop de difficulté le tchèque. Sinon, il s'en sort en anglais, en allemand, en hongrois (qu'il ne pratique que pour causer en tête à tête avec la hongroise), comprend le polonais et le russe (comprendre n'est pas parler, si vous usez de ces langues, il répondra en slovaque).
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Histoire Personnelle :Ah, son histoire... Aussi loin que remonte sa mémoire, il a toujours été avec Kamilka, au point même de la considérer comme une part de lui-même. Pour l'enfant qu'il était il y a longtemps, il y avait Eux. Pas de Elle ni de Lui, il n'y avait que « Eux ».
Le Polonais, avec qui ils furent souvent embarqué
que le slovaque n'arrivera décidément pas à considérer comme un frère, n'eut certainement pas le même traitement que la Tchèque. Et là dessus, Blazej n'arrivera jamais à vous sortir une réponse correcte. Il est juste … Jaloux que l'on puisse être aussi proche de Kamilka. Sa soeur
à lui qu'il dit.
Mais enfin.
Il était un heureux garçon jusqu'à ce qu'ils allèrent chez l'Autrichien. Rien que le lieu filait l'urticaire au slovaque. Trop propre, trop carré, trop rangé, trop de trop. Il se montra de suite très froid à l'égard des autres habitants, essayant toujours de rester dans l'ombre – en prenant soin que Kamilka le fut aussi, bien entendu, cela va de soi ! -. Peut-être les regards ne plurent pas à la Hongroise qui vivait au plus proche côté de l'Autrichien, peut-être était-ce simplement son karma, ou autre chose. Mas le slovaque se retrouva rapidement dans la liste noire de la demoiselle à fleur, subissant sa répression. Elle tenta même de lui apprendre le Hongrois,
genre, elle a osé ! Mais là ne furent pas les seules répressions. Cela allait de simples coups physiques, très classiques, au port de la robe, en passant par les ordres aboyés et les humiliations répétées.
Blazej garde un très mauvais souvenir de l'époque. Pour cette raison, il désire tourner la page, mais c'est sans compter la mauvaise foi hongroise et... Pardon ? C'est lui qui est de mauvaise foi ? … Disons que les deux ne peuvent pas se blairer, quoiqu'ils fassent.
Ce ne fut pas en grandissant que les choses s'arrangèrent vraiment. Il ne supportait plus la présence de l'Autrichien et de la Hongroise... Et tous les autres ! Tous ! Trop de personne dans les pattes, trop. Il colla autant que possible Kamilka, quand elle n'allait pas voir le Polonais. En son absence, il était d'humeur exécrable et ne souriait qu'avec elle. Les années passaient, l'influence de la Hongroise se faisant de plus en plus importante. Il appris le Hongrois contre son gré, sa culture, ses règles... Et bien qu'il ne supportait pas cette homme, il s'obligea à se ranger derrière l'Autriche. Son unique manière de moins subir la Hongroise.
Quand il fugua avec Kamilka, pour leurs 14 ans, ce ne fut pas une nouveauté pour lui. Il avait déjà tenté de fuir, mais abandonner sa soeur était quelque chose qu'il ne pouvait faire. Ainsi, il arrivait qu'on ne le retrouva pas durant quelques minutes, avant de le voir revenir pour finir directement dans les bras de sa soeur. Ce n'était pas si rare. Il ne disait rien dessus. Mais ce n'était pas rare …
Mais la fois où il s'évada de là, avec elle, ce fut une découverte. Courir, partir... Il a beaucoup ri le lendemain. Pendant un an, ils firent des allés-retours entre la Tchéquie et la Slovaquie, inlassablement. Tout semblait sans importance, et ils avaient cet âge où l'avenir ne signifiait rien, et où seul l'instant présent comptait.
Mais on les retrouva, et ce fut chez l'Allemand qu'ils finirent. Oh ! Et on fit le plus horrible chantage au jeune garçon, qui finit par s'incliner : « Sépare-toi de ta soeur, ou c'est toi, seul, qui finira chez la Hongroise». Il s'inclina, oui. Et il passe de Eux à Lui. Il lutta en douce, dans cet état-là. Il fut assez absent des côtés de sa soeur à cause de cela … Cela ne l'aida pas, il ne remarqua rien par rapport à elle... Oui, oui, les cigarettes, tout ça... Pas au courant, pas remarqué, trop occupé.
Il redevint Eux quand ils furent chez les Russes. C'était mieux ainsi pensa-t-il... Si vous lui posait la question, certainement vous répondra-t-il que de tous les séjours, là-bas fut le plus doux à ses yeux ! Des deux, il fut celui qui a le moins souffert, ayant même bénéficié d'un certain équilibre... Peut-être pour cela qu'il arrive encore à apprécier la présence du russe. Ce fut... Très certainement cet avis distinct qui amenèrent les deux à ne plus parler de Eux, mais de Lui et Elle. Ils s'éloignèrent. Et pas qu'un peu.
Quand on les sortit de là, Blazej avait la gorge sèche. Il tourna dos à Kamilka, sans le vouloir vraiment. Ils en avaient parler... C'était mieux ainsi. Voilà...
Et puis, un jour, il allait la voir. Et on lui dit qu'elle n'était plus là, qu'elle était parti, comme tous les autres, Là-Bas. Le soir-même, Blazej boucle ses affaires, prêt à aller la voir, Elle. S'ils ne pouvaient plus être Eux, il voulait au moins s'en rapprocher... Lui Et Elle.
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Famille : Tchèquie (Kamilka) et Pologne (Feliks) pour le côté direct – ou demi-direct pour le dernier -. Trop de gens pour l'indirect.
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Vous avez l’air de quoi ? Le Slovaque, de loin, on sait pas trop s'il est grand ou pas. De près, on voit qu'il est normal, il fait pile dix centimètre de plus que sa soeur. Ca a pas été le cas tout le temps, il y a une époque où il était grave plus petit. Pas de sa faute si la croissance, c'est pas au même âge, mais n'empêche que c'est trop une période noire. Enfin, maintenant qu'il est plus grand, il aime bien le montrer. Il se tient super droit, les épaules en arrière et reste debout quand les autres sont assis. Il a pleins d'autres combines comme ça, mais il en parle jamais. Peut-être de peur que les autres en usent également … Un peu comme les semelles de deux centimètres. Bref.
C'est un gars qui a l'air tout normal vu comme ça. Il a une coupe pas détonnante, le genre 'grande-frange-ramenée-sur-le-côté', un poil long devant – sinon, y en a pas assez pour la frange – plus court derrière, et d'un blond pétant. Ou presque. Un blond propre en tout cas. Généralement, il passe bêtement la main dans sa chevelure le matin, secoue le tout, et c'est fait. Il se casse pas la tête. Et puis, ça lui donne un petit quelque chose, un charme qu'il dit. Il y a des mèches lourdes qui retombent sur ses yeux, de jolis yeux ma foi. Verts, dans les même teintes que la Tchèque et le Polonais. Un vert qui oscille entre pomme et pistache. Et il en est plutôt fier. Elles ont de jolies couleurs jaunes l'été et grises l'hiver. Et de grands yeux expressifs, qui passe sans soucis aux petites lueurs de joies à l'air blasé. Il est doué pour ça, sourcils froncés la moitié du temps. Mais contrairement au polonais, il a loupé les entrainement de gonflements de joues. Il ne peut pas se la jouer montgolfière quand il est vexé, alors il se contente du regard blasé. Et des lèvres pincées.
Il a un bon fascié quand même. Le visage qui s'assombrit quand il va mal ou qui s'éclaircir quand tout va bien. Il lui arrive de rougir, parfois, quand il est gêné ou que les émotions sont trop fortes pour lui. Mais plus que le visage, il y a la dynamique. De grands gestuels. Il n'hésite pas à ouvrir grands les bras, à prendre un air plus désinvolte, croiser les bras pour intimider, croiser les jambes en s'asseyant pour imiter les demoiselles dans la fleur de l'âge et … Avec l'inconnu, il est simple, mais les mimiques viennent facilement avec les proches.
Mais il n'y a rien qui sorte vraiment du commun. S'il arrive parfois à se démarquer, c'est par des tenues plus ou moins arrangées. Il aime bien les couleurs, tester les styles. Pas très constant dans le genre. Un jour en uniforme, le second en gros pull tricoté main pour finir ensuite en tee-shirt noir quasi moulant. Mais généralement, c'est un jean qui porte. Taille basse ou plus haut, large ou serré, mais toujours l'indémodable jean tout droit sorti des Us. Même l'uniforme, il ne le porte pas comme il le faudrait réellement. Un sweat foncé par-dessus la chemise, les converses sombres par-dessus le pantalon.
De loin ou de près, on est pas sûr qu'il soit bien grand. Sa taille ? Quelle importance. Tous les autres détails font ce qu'il est.
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Ça se passe comment dans votre tête ? Il est tout compliqué le garçon, alors je vais essayer d'aller franchement au coeur des choses. Blazej, il est tout comme son physique l'indique. Assez distant aux premiers abords, plus amical, voire très, ensuite. Dans l'ordre des choses, prenons Mr X.
Mr X voit Blazej. Il va lui parler. Le slovaque se contente des formalités, bonjour, comment vas-tu, la famille, tout ça. Il se tient bien à l'écart, deux mètres entre l'interlocuteur et lui. Le slovaque a alors tendance à le fixer, le décrypter, essayer de lire dans sa tête. Blazej porte beaucoup d'importance aux détails qu'on oublie souvent... L'état des ongles, le regard, les sourires ou non, les gestes nerveux … Il est nécessaire de le regarder dans les yeux quand on lui parle, dans le cas contraire, il vous méprisera : impolitesse. L'opposé du japonais vous direz-vous... Et c'est cela.
Faut-il mériter son amitié ? C'est ce qu'il semble croire. Visiblement, il existe certains codes à l'amitié … Ascension sociale ou professionnelle ? Certainement des restes de ces codes-ci. Il ne cherche pas le fils du cadre ou le futur président d'un grand pays, mais plutôt des personnes capables de l'aider lorsqu'il aura des soucis et à qui il pourra rendre la pareille. Il n'évite pas les gens inutiles, il évite ceux qui n'ont pas la conversation, ceux qui sont lourds ou collant, ceux qui aiment Hongrie, ceux qui ne savent pas ce qu'ils veulent, ceux qui rougissent toutes les deux secondes pour un rien... Tout ça, vous avez le droit, mais une fois que vous êtes amis. Avant, il prendra soin de vous renvoyer d'où vous venez, et si les mots ne suffisent pas, il se montrera très désagréable … Humiliation publique, vous connaissez ?
Oh, il n'est pas violent, pas vraiment. Ce n'est pas sa nature première disons. Bien entendu, une fois énervé, il retrousse ses manches et n'hésite pas à foncer dans le tas. Mais il y a des règles, des conditions... Comme à tout. Il ne frappe pas sans raison et généralement, il ouvre la main. Oui, il gifle, oui, ça fait fille, mais c'est surtout parce qu'il arrive bien à claquer, que ça laisse de jolies traces de mains et qu'il a peur de casser les dents ou le nez de quelqu'un. Et jamais en public (public, c'est à dire, quand 30% des personnes présentes lui sont inconnues, grosso modo). Dans ce genre de cas... Il vous prendra à part, allant dans un autre lieu. De préférence sans caméra aussi. C'est mieux. Et il fait de son mieux pour ne pas viser entre les jambes pour messieurs et ne pas toucher la poitrine de mesdames. Gentleman.
Côté force ? Il y a mieux. Disons qu'il se défend, qu'il mise bien plus sur ce qu'il lui passe par la main et les petits coins sensibles que sur sa force brut. Plutôt que de lancer un coup de poing en pleine figure, Blazej tentera plutôt de planter son crayon dans le coude. Oui, là où ça fait bien mal, haha.
Mais dans le même genre, il court pas bien vite. C'est très lié au physique, mais il a pas la vitesse dans les pattes. Il est plutôt endurant, ça, c'est sûr, il sait placé son souffle et laisser de côté la douleur de ses muscles. Mais pour ce qui est de rattraper quelqu'un ou de le semer... C'est autre chose. À moins qu'il connaisse cette personne et que celle-ci soit peu endurante, pas moyen de la retrouver !
Enfin, nous nous égarons ! Ce n'est donc pas une personne très violente de nature, encore moins impulsive. Bien entendu, il ne réfléchira pas mille ans à une réaction, il lui arrive de répondre du tac-au-tac, mais jamais il n'ira passer aux insultes pour peu. Il en faut beaucoup. Même avec la hongroise, les vilains mots restent tout bien au fond de sa gorge … Les formalités. Il est très poli avec « Lizzy », car c'est ainsi qu'il l'appelle. Lizzy. Ca paraît affectif. Mais il sait oh combien elle déteste ce surnom. La raison pour laquelle il continue à l'appeler comme ça. Et quand il est énervé, ça vire au « Lizon » ou « Beta ». Ouais, je sais, c'est adorable.
Mais globalement, c'est l'une des rares personnes à hériter d'un surnom. Seuls quelques privilégiés ont cette honneur... Au moins, elles le savent. C'est un peu la marque du « tu es mon ami ». Une petite liste ? Sa Kamilka devient sa «Mika», selon les humeurs. Le Russe, c'est « Iwan ». Et pis … Bon, c'est vrai, nous avons autre chose à faire. C'est parti.
Donc, c'est un garçon qui a du mal à voir les autres comme des amis. Les ennemis, c'est un peu pareil. Les frontières entre connaissances et proches sont très … Floues. Il a bien souvent du mal, et donc par généralité, use bien plus le mot « camarade ». Le premier qui dit « communiiiiisme ! », et bah … Bah... Il a pas trop tord, c'est à force de vivre avec Russie, tout ça …
Je sais pas si j'ai tout dit. Je crois que j'ai surtout causé de ce qui est plutôt plat et qui le rende pas tant que ça amical … Un peu de qualité ? Blazej au final, c'est un bosseur. Il étudie bien, même s'il y a mieux, mais ce n'est pas faute de faire des efforts. Il s'en sort bien en langues, mais alors, le reste … Mais il ne néglige rien. Il travaille dur, tout. Il est plutôt attentif, faut dire qu'il écoute les autres parler longtemps sans broncher. Il aime bien écouter. Il aime bien parler. Il aime l'échange. Car c'est magique, une information contre une autre, aussi futile soit-elle.
Bien que le silence ou l'atmosphère zéro ne le dérange pas, ce qui est tendu a tendance à le stresser légèrement. Il sait faire la fête, pour sûr, mais le public … Moyen. La musique, tout ça, il aime bien... Danser aussi. Mais attention, il y a des... Conditions, ouiii ! Généralement, il trouve impoli de rire, embrasser, crier en public … Donc, s'amuser a les même conditions. À moins qu'il ne danse sans rire, mais ça, c'est autre chose je pense …
… Et il boit. Enfin, il aime bien. C'est pas son péché mignon, mais il ne refuse jamais un peu d'alcool... Et il a ses coutumes... Mais cela... Vous les remarquerez vite.
Ah si... Bien entendu, suis-je bête, j'ai failli oublier ... Le jeune homme n'est pas narcissique. Il est juste tellement attaché à son pays qu'il a tendance à l'idéaliser. Beaucoup. Et à se lancer des fleurs car, bon, il est "Le digne représentant de la prestigieuse Slovaquie et c'est un honneur d'avoir un tel rang". Forcément.
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Ce que vous aimez :Il y a pas mal de choses … Sa soeur, Kamil', sans hésitation, est ce qui lui compte le plus pour lui. Etudier, même si on ne dirait pas vraiment. Lire. Russie. Enfin, c'est pas qu'il « l'aime », il l'apprécie. Et puis bon … Faut bien faire large pour remplir ce champ. Le Hockey, regarder les matchs le dimanche soir. Les produits allemands et américains. Qu'on refuse une fois avant d'accepté. Les sujets sur l'histoire de son pays ...
... Et bien sûr.... La Slovaquie <3
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Ce que vous n’aimez pas : HONGRIE. Pardon, c'est sorti tout seul... ~ Vous l'aurez compris, il déteste la hongroise. Il déteste les poêles, les robes vertes à jupons blancs et les rubans. Traumatisme d'enfance, vous ne pouvez pas comprendre …
Qu'on ne le regarde pas dans les yeux. Qu'on frôle sa soeur. Qu'on pense à le faire. Autriche. Allemagne.
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Talents particuliers : Euh … Lire trois jours non-stop sans faire la moindre overdose ? Être fier de jouer de la flûte géante publiquement ? De préférer le russe à la hongroise ? Ce sont des talents particuliers ? Sinon, il y a aussi attraper tout ce qui lui passe par la main pour frapper l'adversaire. Et il joue bien au Hockey.
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Habitudes/Tics : Une tendance à toujours trop fixer, ce qui peut sembler très vite désagréable. Caser « ma Mila» à chacune de ses phrases. Dans le plus concret, il passe sa main dans ses cheveux assez régulièrement, et les ramène en arrière quand il est gêné ou stressé.
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Clubs dont vous faites partit : Bien qu'il aurait pu postuler pour le Club de Hockey, il reste sans Club fixe pour le moment...
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Loisirs : Lire, étudier, espionner Kamilka et développer des stratagèmes pour éloigner Pologne de sa soeur. Faire mumuse avec un bâton et une pierre derrière l'académie et se croire en plein match. Oui, bon bah... On s'amuse avec les moyens du bord !
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Poste/Emploi : Pas le moindre.
VOUS ! Oui, vous !
Surnom : sm. Genre, beaucoup.
Âge : Toujours le même.
Comment vous avez connu le forum ? Double-compte <3
Des commentaires ? Beuuuh... C'est dur l'histoire D: Avec une histoire touffue dans les temps modernes et contemporains, mais en même temps, dans une académie dès 12 ans, tout en collant à l'histoire de Kamil'... Enfin... Si ça colle pas trop trop, je modifie... *se pend*
Et pour finir, le fameux code secret ! validé par un poney volant