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 Puisque le commencement nous échappe [libre, totalement]

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Slovaquie/ Blazej D.
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MessageSujet: Puisque le commencement nous échappe [libre, totalement]   Puisque le commencement nous échappe [libre, totalement] Icon_minitimeDim 13 Fév - 9:56

« Cher quelqu'un,
Je n'écris pas avec un réel but, juste que j'ai besoin d'écrire sur papier mon coeur... Vois-tu, il y a »

Il fronça les sourcils et après relecture, raya ce qu'il venait d'écrire. Voyons, il ne pouvait aborder les choses ainsi ! Et de plus, parler de son coeur, quand celui-ci est blessé et ne porte rien à l'intérieur... Non, non, il ne pouvait décidément pas. Alors, reprenant une inspiration, il entreprit de commencer ce récit d'une manière toute autre.


« Cher quelqu'un,
Je ne sais pas comment aborder le sujet, mais n'ayant personne à qui le dire, j'aimerai »

Encore une fois, il raya. Pas besoin de relecture pour savoir que c'était une entrée en la matière tout à fait naze. Il soupira longuement, levant les yeux au ciel. Comment commencer ? C'était dur de trouver la phrase d'accroche, celle qui fait tout le boulot pour le reste du texte. Si la première est bien, les autres s'enchainent, et surtout, le lecteur entre plus aisément dans le texte. Sans cette phrase, il doit se farcir des lignes et des lignes sans intérêt pour finalement accepter ce qui est dit.
C'est pour ça qu'on prend trois ans, ou deux, avant que les souvenirs ne restent imprimé dans notre mémoire ? C'est parce que le commencement n'a pas de belle phrase et qu'on entre difficilement dans cette vie ?
Il souriait doucement à son papier, l'heureux spectateur de sa joie enfantine. Il trouvait son idée idiote, dénuée de sens. Comment comparer un roman à une vie humaine … ! Balivernes ! Il faut être poète pour cela, et pour être poète, il faut être fou. Blazej, tout aussi décalé qu'il peut être quand il le désire, n'aura jamais assez de folie pour découler des vers. Ses mots seront banals et ses métaphores bateaux. Il n'élèvera jamais l'esprit des femmes pour capturer leurs coeurs, non …
Blazej, c'est plus le garçon un peu con sur les bords, tout codeux de partout, qui lit mais n'écrit pas. Et à moins de pomper dans ses lectures, jamais ne sera auteur...

Pour l'argent ? Pour les femmes ? Pour la gloire ? Pour tout cela, il deviendrait le plus grand menteur. Mais l'heure n'est pas aux rêveries. Car déjà, le jour se lève dans le parc. Les premiers rayons de la journée percent les branches des arbres, dépossédés des feuilles, ainsi dénudés à l'air. Et lui, assis sur un banc, sous la lumière qui bientôt s'éteint, d'une vieux lampadaire noirci par le manque d'entretien. Il regarda le ciel qui se teinte de couleurs magnifiques, un paysage unique pour quelques minutes, avant qu'il ne disparaisse dans le bleu pâle de la matinée. Et le soleil ? À se pointer discrètement. Là-bas, peut-être.
Il colla ses mains, les approcha de son visage et souffla d'un air chaud dessus. L'air gelé venait grignoter sa chair pour lui donnait une couleur rouge des plus inappréciées. Peut-être le Russe l'aurait aimer, elle se rapproche de celle du sang. Oh, c'est idiot. Cette teinte vient forcément du sang, sous les chairs. Pour sûr, elle doit être plus belle coulant à flot le long de la peau... Tachant la neige blanche. Unie. Véritablement pure. Souillée ?
Le Russe devait aimer cette couleur. Hongrie aussi. Surtout venant de lui. La hongroise devait aimer voir la souffrance du blond peinte sur son visage, sur son corps, voir à quel point il va mal …
Il referma ses mains, comme une prière et les laissa glisser sur ses cuisses. Doucement, il ferma les yeux, essayant d'éloigner cette odieuse femme de son esprit. Elle le hantait, encore aujourd'hui, peut-être bien plus qu'avant. Et il la haïssait. Tant, tant …
Et cela l'amenait à quoi ? À rien. Cela changeait RIEN. Il avait beau la haïr, il ne se sentait pas mieux. Au contraire. Il avait la sensation que cela l'obséder davantage. Il filait parano … Totalement parano...

Mais chut. Chut Blazej. Ce ne sont pas les confidences que tu murmures qui vont te donner bel allure. Déjà, tu entends. N'est-ce pas, que tu entends … Les pas sur le sol, sur la terre du parc, le souffle bas d'une personne. Est-ce un homme ? Est-ce une femme ? Tu ne sais pas ? Tu perds la main.
Laisse tes écrits. On s'en fiche que la hongroise t'ai sauté dessus ! Cela n'a pas d'importance, pour l'instant ! Voilà, bien, gentil garçon, pose les écrits, feuilles raturées, car tu ne trouves pas les mots justes, les mots qui diront ta pensée et la vérité, les deux, sans mensonge. Et cette première phrase, celle qui commence tout, et qui t'amène aisément jusqu'au bout du récit... Sans accroche …

Lève-toi.
Parle.


« Qui est là ? »


C'est simple. Mais ce n'est pas mal. Attend la réponse.
Et il est là, crispé mais zen, agenouillé mais debout, éveillé mais aveugle, à l'attente d'une réponse. Viendra-t-elle ? Il l'espérait. Il savait la personne derrière l'arbre. Il la sentait ? Non, c'était …

… Peut-être les traces neuves de pas à côté et la branche qui bouge toute seule.
Mais qui sait …



[Hrp : Beh, c'est libre, totalement... Si ça intéresse quelqu'un … ~ ]
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Croatie/Marija Jelušić
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MessageSujet: Re: Puisque le commencement nous échappe [libre, totalement]   Puisque le commencement nous échappe [libre, totalement] Icon_minitimeSam 5 Mar - 2:02

En cette journée, Marija s'était levée de bon pied. Cela était bien, très bien même. Les gens avaient l'habitude de voir une croate enragée, énervée, blasée et surtout, une croate qui criait à la façon d'une beuglante provenant tout droit de la série culte Harry Potter... Elle criait par-ci, elle criait par là. Elle ne supportait pas les bêtises, le désordre, l'immaturité et tout cela. Croatie avait ce caractère si sérieux, trop même pour ses dix-sept années, qui avait le don de frustrer et d'énerver les gens. Même avec ses différentes familles d'accueil, elle avait l'habitude de reprocher des trucs à tout le monde, même à ses parents d'accueil, en bon exemple, on pourrait citer la famille italienne, sur laquelle elle passait ses nerfs, mais qu'elle adorait presque plus que tout. Elle ressemblait un peu à Autriche d'une certaine manière, lui qui était son modèle, la personne sur laquelle elle prenait exemple le plus souvent lorsqu'elle devait prendre une décision. Elle ne criait pas juste par énervement, mais aussi puisque c'était comme cela qu'elle démontrait ses émotions... On pouvait aussi la comparer à cette chère Mimi Geignarde, toujours de la même série. Pour sa tendance à verser des torrents de larmes, mais elle, cela était pour manipuler... Enfin bref.

Elle avait profité de sa bonne humeur, si rare, pour aller se balader. Pas pour n'importe quoi, puisque Marija ne faisait jamais rien pour n'importe quoi. Il devait toujours y avoir une bonne raison pour qu'elle fasse quelque chose. Même pour user de ces actions si tristes et mauvaises, nommées "violence". Si elle avait une bonne raison, elle le ferait. Par exemple, baffer ses proches pour tout et rien. Cela faisait un autre truc vraiment ennuyant de sa personnalité si explosive. La jeune fille aux cheveux aussi bruns que le chocolat tenait un cahier dans ses mains... Pas un cahier ordinaire, un cahier tout spécial à ses yeux. Un cahier unique. Oui, des gens pourraient avoir le même, mais ils n'auraient jamais ce qu'il y avait à l'intérieur... Ce qu'il y avait dedans, c'était des trucs éphémères qui pourraient s'envoler de leur feuille à la moindre brise si mal placée. Les gens trouvaient un peu idiot qu'elle puise porter une si grande attention, un si grand amour à ce qu'il se trouvait à l'intérieur. Cela était sa façon de voir les choses et personne ne pouvait lui faire changer d'idée à propos de cela. On dit qu'il n'y a que les fous qui ne changent pas d'avis, mais dans ce cas, elle était folle et elle l'assumait très bien, peut-être. Là-dedans, dans ce cahier bleu ciel, il y avait ses dessins, ceux auxquels elle passait des jours à travailler... Elle y tenait tellement, ils avaient une grande valeur pour elle même s'il y en avait qu'elle avait fait en uniquement une heure... Les arts, c'était son seul amour. La musique, sa meilleure amie. Sa vie était ainsi et que voulez-vous de plus ? On ne peut pas changer un homme...enfin, une femme plutôt et sa poitrine nous le confirmait très bien...

Tout en marchant, elle griffonnait des choses qu'elle voyait. Une demoiselle prenant une marche très matinale... Il n'y avait rien d'autre... Enfin, personne d'autre. Les modèles humains étaient ses modèles préférés. La forme d'un corps... Les courbes uniques variants d'une personne à un autre. Leurs visages, leurs expressions faciales, leurs façons de se tenir... Tout chez l'être humain était unique, sauf peut-être chez les vrais jumeaux, mais cela était une exception, Jamais elle n'avait aimé dessiner uniquement des objets, mis à part, des vêtements. Jamais elle n'avait éprouvé ce même sentiments en dessinant des animaux... Le froid était peut-être presque omniprésent autour d'elle, mais elle continuait ses dessins, elle voulait au moins faire deux croquis avant de rentrer... Cela ferait sa journée... D'habitude, elle n'avait pas le temps d'aller faire cela à l'extérieur qu'elle prenait du temps lors des cours pour dessiner ses professeurs dans différentes situations...

Son regard se posa sur une personne de dos... Cette personne qui était de dos, elle semblait la connaître... De la même "famille", peut-être qui sait... Pour le moment, elle n'avait qu'une vue de dos... Pourtant, à bien regarder, quelque chose lui rappelait sa cousine, Kamilka... C'était peut-être la chevelure, ou bien sa façon de se tenir... C'était peut-être Kamilka travestie ! Kamilka travestie... La croate en saignait presque du nez -enfin, si on était dans un dessin animé...- ... N'allez pas chercher pourquoi, mais le mental de la croate est bizarre... Peut-être qu'elle avait une attirance vers les travestie, avec un grand E à la fin... Ou bien cela était le fait qu'on était le matin, qu'elle venait presque tout juste de se réveiller et qu'en plus, elle était étrangement heureuse en se réveillant ce matin... Rassurez-vous, la croate n'avait rien consommé d'illégal ou quoi que ce soit... Juste de la bizarrerie ou bien l'abus excessif de doujin... Marija tentait désespérément de chasser cette idée de son esprit.

Elle s'avançait encore un peu, histoire de voir qui pourrait bien être cette personne qui lui rappelait d'une certaine façon la Tchéquie. Elle regardait la personne de côté De façon discrète pour ne pas se faire remarquer... Ah nan, finalement, ce n'était pas la tchèque travestie, mais Slovaquie... La jeune demoiselle ne le salua pas et alla plutôt se cacher derrière un arbre histoire de tenter de lui faire peur, qui sait, cela pourrait peut-être marcher. Elle l'entendit demander qui était là... Elle ne prit pas vraiment de temps à répondre.

-C’est moooiii ! S’exclama-t-elle en prenant une voix de fantôme. Et oui, fantôme Marija à l’attaque!

Spoiler:
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MessageSujet: Re: Puisque le commencement nous échappe [libre, totalement]   Puisque le commencement nous échappe [libre, totalement] Icon_minitimeDim 1 Mai - 1:04

Quand on est gosse, on chercher à s'amuser comme on peut. On invite le voisin pour s'amuser dehors, entre amis. Quand on est gosse, on invente des jeux. Mais tout d'abord, faut virer les filles, parce qu'elles sont pas drôles ! On a pas le droit de tirer leurs cheveux et elles piaillent quand leurs robes sont tachées, ohmondieuquec'estgrave ! Voilà pourquoi, les filles, c'est pas chouette. C'est chiant.
Quand il était gosse, Blazej, il jouait pas avec les filles. Sauf des fois Mika, mais elle, c'est parce que c'est sa soeur. Et que sa soeur, c'est sa soeur avant d'être une fille, genre. Mais étant gosse, il jouait qu'avec les garçons, jamais les filles. Ils jouaient qu'à des jeux de garçon. Et là-bas, le meilleur des jeu, c'était la guerre. On prenait des bâtons et on se courrait après. Les plus chanceux trouvaient les bons, les autres, juste des brindilles. La forêt, ici, lui ramenait ces jeux de gosses à la mémoire. Il revoyait les gamins courir entre les arbres, poussant des cris de guerre. Des têtes blondes, aux genoux salis par les chutes diverses, des têtes blondes, qui rient en brandissant leurs armes, des têtes blondes pas plus hautes que trois pommes. Combien de fois, un gosse grimpait sur les rochers et proclamait devant la populace de ses amis, qu'il serait, le temps d'un après-midi, Jánošík. Blazej, il l'avait déjà fait. Pleins de fois. Tous les gosses de chez lui le faisaient. Comme les british qui se la jouent Robin des Bois. Et bien, chez lui, on préfère Juraj Jánošík.
Mais le mieux, c'était la filature. Quand les grandes dames sortaient, les gosses s'amusaient à suivre les traces sur la terre battue. Et on lançait les paris. Qui ? Qui alors ? Regarde la trace, c'est une chaussure de dame ! Non, une chaussure d'homme ! Et les gosses qui se battaient. Et Blazej qui riait et les laissait à ce genre de discussion pour rentrer. Parce que Mika attendait. Et parce qu'il ne choisissait pas l'heure.

Dommage. C'était bien dommage. Qu'il soit toujours parti avant. L'ambiance d'aujourd'hui, c'était tout à fait ça. Il se pencha, effleurant le sol. Il serra entre ses doigts une branche brisée. Les souvenirs d'gosses. Blazej se redressa, regardant ce qu'il tenait dans la main, sans un mot. Il leva les yeux, un sourire se dessinant sur les lèvres. Qui est là … ? Tu te caches, n'est-ce pas ?

— C’est moooiii ! —
C'est moi, c'est moi, c'est qui moi ? C'est l'histoire d'un mec qui entre dans un bar, qui dit « c'est moii ! » et ce n'était pas lui … Dommage, la prochaine fois ? Blazej souriait toujours, tout doucement, avec cet air moqueur dont il avait le secret. Il brandit le bâton, façon sabre. Enfin, de ce qu'il avait vu à la télévision. Qu'est-ce qu'il faisait stéréotypé ainsi positionné ! Allez, chevalier Blazej, défendez le nom de votre famille, battez-vous jusqu'à la mort contre cet ennemi inconnu, très certainement une femme d'ailleurs, à la voix, dur de dire que c'est un homme, ou il est le parfait meilleur ami gay des séries américaines. Vous savez, celui qui a une voix ultra féminine, tellement que même vous, vous êtes un camionneur à côté. Même Blazej, c'est histoire de vous mettre bien l'image en tête …
Mais non, ça faisait tout de même beaucoup. Et il ne lui avait pas semblé avoir croisé ce genre d'individu. Du moins, pas à l'académie. Bien entendu, on peut penser à un certain écossais, mais ce n'était pas encore tout à fait ça … Quoique … On peut, non ?

Il fit tourner le bâton dans sa main, à la manière des jeunes majorettes. Du moins, il essayait. Le pauvre bâton tomba très rapidement, le slovaque étant bien loin des grandes cheerleaders. Ce n'était pas vraiment le même niveau … Il laissa tomber et interpella la voix derrière l'arbre.


« Et toi, c'est qui, très cher fantôme ? »

Il se concentra sur la voix. Il lui semblait qu'il la connaissait, mais aucun visage ne lui venait. Pourtant... Blazej était sûr que la réponse était … Simple. À coup sûr, c'était une dame relativement proche de lui. Mais aucun nom, aucun visage …
Pourtant, ce n'était pas elle. C'était déjà ça. Ce n'était pas elle. Il l'avait tant entendu, avant... Vu et revu. Mais tant de fois, qu'aujourd'hui, il pouvait la reconnaître entre mille ans. Le timbre de sa voix, chantant, malade, bourré, il était sûr qu'il la reconnaitrait toujours. Il suffit de voir si les poils de ses bras s'hérissent ou non. Tout est dans la peur que sa présence fait naitre.
Alors, ce n'était pas elle. Ce n'était pas sa soeur. Non. Sa soeur … Impossible. Si ce n'est ni elle, ni sa soeur, dans ce cas, quel importance ? Il peut dire ce qu'il lui sort par la tête, les pires conneries et même se confesser sur les pires horreurs qu'il aie pu faire, on s'en fiche ! Alors, il prit une inspiration et laissa vaguer son imagination. Il avait le droit de tout dire, on ne pouvait pas lui interdire quoi que ce soit …

Alors, mesdames, messieurs, ouvres grand vos esgourdes, c'est le discours d'un fou.


« Les fantômes, ça n'a jamais été mon grand amour. Peut-être parce que c'est assez flippant et qu'au final, j'suis pas maso', je préfère pas y penser plutôt que d'avoir réellement peur... Vaut mieux, si on y croit, on finit par vraiment entrer dans le jeu. Et comme ça, on file parano', et la paranoïa, c'est un des symptômes d'une belle schizophrénie … En plus, on est trop dans le bon âge pour les débuts … Bon, c'est sûr que je suis pas sûr que ça soit trop lié, mais on est jamais trop prudent, non ? »

Il sourit.

« Sors de ta cachette, petit fantôme. »
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MessageSujet: Re: Puisque le commencement nous échappe [libre, totalement]   Puisque le commencement nous échappe [libre, totalement] Icon_minitime

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