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 When the loneliness and culpability invade my heart {Solo}

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Éire/Abigail O'Neal
♥ Rainbow in the heart ♥
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Éire/Abigail O'Neal


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MessageSujet: When the loneliness and culpability invade my heart {Solo}   When the loneliness and culpability invade my heart {Solo} Icon_minitimeMar 20 Juil - 1:59

L'Irlandaise avait la tête qui tournait, elle avait encore du mal à avancer droit. Lorsqu'elle avançait, elle avait l'impression que ses pieds pesaient des tonnes tellement elle avait du mal à les lever... Sa tête lui faisait tellement mal qu'elle avait l'impression d'être entrée tête première avec un mur ou bien que celle-ci allait exploser... Mais que lui avait-il pris de prendre une surdose de médicaments ? On lui avait déjà dit que c'était dangereux, mais comme de raison, elle avait voulu en faire à sa tête. Tout tournait, tout ondulait tellement sa tête lui faisait mal, mais maintenant ça c'était calmé, mais le mal de tête était encore là. La rousse ne savait plus exactement ce qu'il était arrivé après s'être relevé d'une légère perte de conscience et elle ne se souvient que de très peu de ce qu'elle avait fait après. Elle se souvenait être allé s'asseoir sur le bord de la fenêtre pour observer le ciel, avoir reçu des biscuits de la part de Féroé qui lui avait dit qu'il avait dû la faire vomir pendant qu'elle avait perdu conscience, ce qui avait entièrement dégoûté l'irlandaise. Les biscuits, elle ne les avait pas mangés, elle n'en avait absolument pas l'intention. L'idée de manger les biscuits que Féroé lui avait offerts la dégoûtait, elle les avait donc jetés dans les rosiers... Tranquillement elle avançait vers le parc histoire de trouver un peu de tranquillité à l'extérieur de l'académie.

Je ne suis plus une enfant
Je peux prendre soin de moi-même
Et pour qu'ils restent confiants
Je dois dire à ceux que j'aime
Ça va, ça va

Jalouse de Féroé, c'est ce qu'elle était, elle ne voulait pas l'accepter... Elle aimait Fabrizio même si elle savait que cela n'était pas bien puisqu'il était déjà pris... Abigail avait conscience qu'elle faisait sûrement du mal à Féroé, elle ne voulait pas lui en faire, mais en même temps, ça ne lui dérangeait pas, elle était divisée sur cet avis, ce qui l'énervait assez. L'amour est aveugle dit-on, pourquoi la jalousie ne le serait-elle pas également ? La jeune fille leva les yeux au ciel pour regarder celui-ci encore bleu. Dire qu'avant elle était amie avec lui... et qu'elle était triste que maintenant l'ambiance soit si lourde lorsqu'elle lui parlait...

Mais je suis fatiguée
Et trop grande pour croire
Ces naïves histoires
De confiance et loyauté
Et ces poussières de fées


Les yeux toujours vers le ciel, elle marchait. Essayant de ne penser à rien, elle regardait le ciel presque totalement dénudé de nuage. Et si seulement ses pensées étaient comme le ciel, bleues, sereine et sans nuages gris ? Elle soupira. Après tout, il n'existait aucun humain sur cette planète dénudé de pensées grises... La vie serait bien trop facile et bien moins amusante si tout était beau comme un ciel d'été dénudé de nuages gris. La jeune Irlandaise avait toujours aimé les nuages. Lorsqu'elle était jeune, elle avait toujours cru que les nuages étaient la vraie maison des anges et de Dieu. Dans son enfance, elle, elle ne croyait pas au Père Noël, elle, elle croyait aux nuages. Certains pouvaient la trouver étrange, mais elle, elle savait qu'elle ne l'était pas, elle savait que les cadeaux étaient distribués par les parents et tout le tralala. Pendant que les autres enfants croyaient dur comme fer au Père Noël, elle, elle croyait dur comme faire que les nuages étaient la maison des anges. Elle avait cru ça, même lorsqu'on lui disait que les nuages n'étaient qu'un truc provoqué par l'eau et la chaleur, elle s'obstinait à dire que c'était la maison des anges...elle avait cru à cela jusqu'à un âge durant lequel il serait normal de savoir que les nuages ne sont que procédés scientifique. Lorsqu'elle prît conscience de la vérité sur les nuages, elle en pleura... Les autres enfants ont pleuré lorsqu'ils ont appris que le Père Noël n'était qu'une invention pour mettre de la lumière dans les yeux des jeunes enfants, l'Irlandaise, elle avait pleuré lorsqu'elle avait appris que les nuages n'étaient que l'oeuvre de l'eau qui s'évapore...Maintenant, elle pleure parce qu'elle avait appris que le monde n'était pas un conte de fée...

Pourquoi je ne vois pas ce qu'ils voient ?
Pourquoi je ne crois pas ce qu'ils croient ?
Pourquoi ? Pourquoi pas moi ?


Le ciel commençait un peu à s'assombrir... la nuit allait bientôt tomber. L'Irlandaise continua d'avancer dans le parc. Elle se sentait si bien dehors. Le vent frais, lui faisait oublier la chaleur qu'il faisait réellement. L'odeur des fleurs transportée par le vent lui faisait oublier pas grand-chose mais bon. Le ciel lui, il l'aidait à oublier ses soucis. Elle aimerait bien raconter ses soucis au ciel, mais elle n'avait pas vraiment envie de paraitre plus folle qu'elle ne l'était. Elle descendit son regard vers le sol puisqu'elle commençait à avoir un peu mal au cou. L'Irlandaise avança. La nuit tombait peu à peu. Non loin, il y avait un criquet qui chantait. Elle trouvait ce son fort désagréable, mais bon on n'y pouvait rien, c'était les chants de la nature.

Dans ce monde troublé
Par les armes et le drame
Je ne peux les laisser
Abandonnés dans cette vie
En flammes, ou même en larmes

Toujours en avançant, un arbre entouré d'un tas de trèfles croisa son regard. L'envie de chercher un trèfle à quatre feuilles lui pris. Elle s'agenouilla près de l'arbre et commença à chercher. Elle n'en avait jamais trouvé. Peut-être que cette fois elle en trouvera un, qui sait ? Elle continua ses recherches en chantonnant un peu. L'irlandaise souriait. Elle ne trouvait que des trèfles à trois feuilles pour le moment, dommage. Il faisait de plus en plus noir, donc de plus en plus difficile de voir le nombre de feuilles qu'avaient les trèfles qui passaient dans les mains de la rousse. Une dizaine de minutes plus tard, à sa surprise, elle tenait dans ses mains un trèfle à quatre feuilles. La rousse souriait une fois de plus. Elle sera le trèfle dans ses mains en faisant bien attention de ne pas l'abîmer. Cherchant un endroit pour mettre le trèfle sans qu'il ne s'abîme, elle sorti son cellulaire, l'ouvra et plaça le trèfle dessus avant de le refermer et de le remettre dans sa poche.

Mais parfois, je voudrais voir ce qu'ils voient
Parfois, je voudrais croire ce qu'ils croient
Avoir la foie
La foie pour croire et enfin voir l'univers qui sépare
Ce monde en pleurs qui tremble de peur
Le rêve enchanteur


La jeune fille se coucha ensuite dans l'herbe. L'herbe était fraiche, Abigail était bien dessus. Elle pourrait y dormir s'il n'était pas dangereux de dormir à l'extérieur. Elle fixa le ciel maintenant presque tout sombre, mais toujours sans nuages.

A présent je peux croire
Car enfin j'ai pu voir
Que notre monde est fait
De confiance et loyauté
Et de poussière de fée

La jeune Irlandaise se murmura à elle-même.

« Le monde n’est peut-être pas si sombre que ça… »

Elle fixait toujours le ciel en fermant parfois les yeux. L'Irlandaise se forçait de ne pas s'endormir là. La rousse avait l'intention de rester là au moins jusqu'à ce que les étoiles arrivent. Même si elle savait que le monde n'était pas complètement un conte de fée, elle savait que le monde avait en lui, un peu des caractéristiques propres aux contes de fée...comme le fait de pouvoir espérer et caresser nos rêves même s'ils ne se réaliseront peut-être jamais... La jeune fille ferma les yeux et s'endormi. Et c'était parti pour une petite sieste dans le parc...

Oui je crois
Car maintenant je sais
Je vois enfin ce que vous voyez
Je crois, je crois, je crois, je crois
En toi.

(Je crois- Peter Pan 2)




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