genre, totalement fun [Raivis]

Les profanes appellent cela de divers noms plus ou moins triviaux. Mais pour les initiés, n'importe laquelle de ces appellations revêt une signification bien particulière, une vraie philosophie. Car glander, m'sieurs-dames, est un art délicat et fragile pour beaucoup de ces miraculés Éveillés.
Bien que la notion d'art soit extrêmement étrangère à Feliks, il avait quelques notions bien intégrées du concept du Rien-foutre. De constructif, s'entend. Après tout, il avait tout de même sorti son illustre personne de tout - non moins illustre - bâtiment, et avait déplacé avec soin son glandouillage intensif jusque dans le parc.

L'ensemble des lieux était vaste, très vaste. Ou disons qu'il y avait de quoi faire sans se marcher dessus - ou pire encore, par exemple tomber sur quelqu'un qu'on a autant envie de voir que d'aller se pendre ; parce que si certes Pologne est, de nature, susceptible de s'entendre assez bien avec n'importe quoi/qui pouvant le supporter, il n'en reste pas moins que quand c'est liste noire, et bien c'est liste noire. Du reste, comme tout le monde, non ?

Vaste, disions nous.

Un peu comme le champ de ses pensées. Parce que oui, Feliks pense, chers, c'est lorsqu'il dialogue qu'il a tendance à ne pas le faire. C'était un tissu de réflexion plus ou moins décousu. Quant à savoir s'il aimait bien se trouver dans cette institution ou si ça le gonflait, il n'avait pas encore décidé. Ce qui, en revanche, avait été sans appel, c'était, comme attendu, la question, ahem... vestimentaire. Aucune chance qu'il puisse agréer pareille façon de faire, parce qu'en somme, uniforme est un terme qui parle de lui même : identique, identique, à en donner le tournis. C'était bien la peine de traîner trois valises et cinq sacs à travers la moitié du globe pour au final avoir l'air d'une moule au milieu de la colonie, doublé d'une touche ringarde au possible - et pire, Joe, bien pire : tous les jours la même. Alors soit, il avait royalement consenti à se plier à la triste règle - ou plutôt avait bien été obligé de céder, au vu du peu d'alternatives envisageables, mais dans une certaine limite : ainsi donc, le temps libre est une dimension où l'aspect moule de la Pologne est proscrit. Et ce jour-là, à en juger par le choix des couleurs, on avait à faire à une crise de j'existe-j'existe-J'EXISTE, ou un brin de mal du pays. Dès lors qu'on le connaissait un minimum, pas difficile de trancher en faveur de la crise de j'existe - sous-titré en langage Regardez-Môa. Ou peut-être juste que le rouge est l'une des innombrables couleurs que Feliks pense avoir été créées spécialement pour lui être seyantes. En revanche (premier post, je vais être raisonnable...), le climat feliksien était calme ce jour là et le vent d'excentricité ne soufflait pas. Pas de jupe, pas de noeud, pas de plumes. Juste Feliks - 'juste' est en soit peut-être vite dit.....

Revenons en à ce parc, euh... ah ouais, vaste (houuu la la, les joies de l'ouverture). Et un peu vide aussi - roh, pourtant ! un si joli après-midi ensoleillé. En fin de compte, c'était un peu chiant. Peut-être ferait-il mieux de retourner sur ses pas avant de traverser la fragile frontière entre glande et ennui. Feliks n'appréciait la solitude qu'avec beaucoup de modération.
Cependant - ho ! Alors même qu'il s'apprêtait à retourner vers les bâtiments, son regard tomba sur une petite silhouette vaguement familière, peut-être un peu trop éloignée pour l'identifier avec certitude. Voilà qui valait le coup d'approcher, non ? Ce qu'il fit, avec un petit sourire, et, parvenu à quelques mètres de la cibl... pardon, de la personne, une brève apostrophe pour attirer son attention.

"... Hey ?"


(psiouuu...)

Il y a des jours où il faudrait mieux de rester au lit et de se faire porter pâle... C'est ce que Raivis aurait dû faire ce matin, avant de se levait... Mais bon, Raivis Galante est un bon élève, il n'oserait jamais sécher volontairement, en pleine conscience de son acte, les cours. Puis, il ne voulait pas inquiéter Eduard -le pauvre, il aurait pu lui aussi sécher les cours JUSTE pour rester avec le Letton et s'assurer que celui-ci allait vite être remit sur pied. Bref, il faisait beau, la journée avait bien commencé, et comme un chien suivant son maitre, Raivis avait suivi... Ou plutôt avait collé une bonne partie de la journée l'estonien -mais ça ne gênait pas Eduard de toute façon, le Letton restait toujours avec lui ou avec Toris... ou alors les trois-

La fin de la matinée finit par arriver plus ou moins rapidement, comme d'habitude. Pour une raison quelconque, Raivis voulait déjeuner seul et avait prévenu son « frère » Igaunija* qu'il serait dans le parc et que s'il le cherchait, il y serait, normalement, jusqu'à la reprise des cours -c'est-à-dire pas avant tune bonne heure de l'après-midi.
Bref, il était donc parti prendre son déjeuner dans le parc, avec ce beau temps, valait mieux en profiter un maximum avant de le retour de la pluie, du froid et du mauvais temps.
Le repas manger, il resta sur son banc à regarder le soleil, les nuages... Glander un petit moment avant de décamper pour se balader un peu dans le parc. Après avoir marché un moment dans le parc, Lettonie s'arrêta. Il n'y avait pas beaucoup de monde n'empêche dans ce parc... Pourtant, il est fait beau... Peut-être que...

"... Hey ?"

« Kiii ! »

Cri très peut virile de la part du Letton -qui a dit que Raivis était virile de toute façon ?- qui sursauta en même temps.
Le regard paniquait de Raivis tomba sur Pologne... C'était que lui ... ? Pendant un instant, l'adolescent avait pensé que c'était quelqu'un d'autre (*kofkofIvankofkof*). Se détendant un peu, Raivis regarda le polonais avant de se rappeler qu'il ne l'avait pas salué.

« Ah... euh... Bon-bonjour »

Spoiler:

Spoiler:

Kiiii.
Ah ouais, quand même, hein. Feliks haussa un sourcil en mangeant dans la tronche, en même temps que le cri apeuré, les ondes de stress qui se dégagaient de Lettonie, puissance 1000. Même pas croyable qu'un si petit bonhomme puisse balancer une tension pareille.

Aaah, j'te jure. Cette académie déborde de p'tites joies anodines et quotidiennes. Malheureusement, pour le moment, c'était bel et bien notre pauvre petit letton qui était au centre de son intérêt, et ce, pour une durée indéterminée.

Le petit letton, et plus précisément, ce qui venait de le frapper à l'instant. Il se désinteressa totalement du Bon-bonjour et se pencha légèrement vers l'adorable souriceau trop cute qui lui faisait office d'interlocuteur.

"Mais, genre..."

Il avança la main, comme pour tapoter l'épaule de Raivis, à la différence près que le but, c'était surtout de tâter le muscle trapèze, authentique tableau d'affichage de l'état nerveux du loulou, avec la réaction mi-consternée mi-hilare qui s'ensuivit.

"Regarde ça, j'hallucine graaaave ! T'es, genre, tendu comme si t'étais passé au brushing, quoi. Sois cool, mon pote ! Tu vas crever jeune si t'y vas pas mollo."

Un grand sourire plein de dents pour ponctuer le tout. T'inquiète pas, Raivis. On va s'occuper de toi comment qu'il faut, tu vas te sentir trop grave mieux.
POLAND. IS. YOUR. NEW. BEST. FRIEND.
Jusqu'à ce qu'il trouve mieux à faire. Moui, il est comme ça. Rodéo, Joe.

"T'sais ? Viens par là."

Ah ouais, mais nan Raivis, les mots sont là juste pour la forme, parce que là, c'est avec carrément tout le bras passé autour de tes épaules qu'il t'entraîne un peu plus loin. Tiens, bah, jusqu'au banc, là, ça fera l'affaire. Step one : on pose Lettonie dessus. Step two : on se laisse tomber à côté.

"Okay. Raconte ce que tu solotes, là. Et déstresse, c'est quoi le souci ? Dis moi pas que t'as encore, genre, les flubes de l'autre vieille outre à vodka, ça craint TOTAL, sérieux."

"Mais, genre..."

Genre.... Quoi ? À la vu de la main qui s'avançait vers lui, le premier réflexe de Raivis fût de... bah... De fermer les yeux en rentrant sa tête dans ses épaules, réflexe de défense... Réflexe qui lui servit à rien, vu que Feliks tapota seulement son épaule, 'fin, tapoter.... C'est vite dit.

"Regarde ça, j'hallucine graaaave ! T'es, genre, tendu comme si t'étais passé au brushing, quoi. Sois cool, mon pote ! Tu vas crever jeune si t'y vas pas mollo."

« Hé … ? »

Depuis quand le stress apporter la mort ? Non, plutôt → C'EST QUOI SE SOURIRE BIZARRE ?! Le Letton essaya de toutes ses forces de ne pas se mettre à trembler encore plus fort. Non mais quoi ? Il est bizarre le sourire de Pologne, on y peut rien... Non en fait, c'est Raivis qui est trop méfiant donc il se fait des films bizarres dans sa tête... Non, pas ce type de film « bizarre », bande de pervers...

"T'sais ? Viens par là."

Même pas le temps de dire « ouf » que Raivis se fait embarquer par le polonais, le bras qui limite l'étouffer. Docilement, le Letton se laissa faire. De toute façon, pour quelle raison il s'enfuirait ? Pologne n'a -encore- rien fait donc... Il n'a aucune raison de s'enfuir... Pour le moment.
Une fois que les deux adolescents se soit installé sur le banc, Pologne -Impossible pour lui de ne pas parler pendant plus de cinq secondes, espèce de moulin à paroles va- se remit à parler.

"Okay. Raconte ce que tu solotes, là. Et déstresse, c'est quoi le souci ? Dis moi pas que t'as encore, genre, les flubes de l'autre vieille outre à vodka, ça craint TOTAL, sérieux."

le souci... ? Bah.... C'est qu'il n'y en a aucun en fait, c'est grave ? Quoique, maintenant si, vu que Feliks a parlé Ivan. Pas vraiment subtile le polonais... Il aurait mieux fallu ne pas parler d'Ivan, le Letton s'en à chaque fois une catastrophe arrivée.

« T-tout va bien... »

... Pour le moment...

Spoiler:

Genre, quoi ? Genre, plein de trucs. Genre, Raivis, t'es trop stressé. Genre, attends, on va t'arranger ça en deux temps-trois rubans... euuuh, mouvements. Genre, viens là Raivis mon ami de toujours, qu'on se penche un peu sur ton cas.

Des fois, il vaut mieux ne pas savoir 'genre, quoi'.
Pour le moment, on attendait surtout de savoir ce que Lettonie glandouillait dans le coin, comment, pourquoi, dans quel but. Sür que ça allait être extrêmement intéressant. Sûr que ça allait être...
... à ras les pâquerettes. Tout va bien. Nan, nan, Joe, c'est : t-tout va bien.

"G-genre si t-tout va bien, c'est to-totalement c-cool a-alors."

Comment ça, ça fait rire personne ? Alors là, pas d'accord. Regardez Feliks, l'est en train de crever de rire sur son banc. Ouais bon ok, en même temps, c'est pas non plus une référence du bon goût, surtout dans le domaine de l'humour. Ni question subtilité, d'ailleurs... Où avez vous entendu dire que Pologne possédait une quelconque once de subtilité ?

Donc, pas de souci. Oh, hormis bien sûr la référence à Ivan, qu'il aurait mieux valu ne pas faire. Baaaha oui mais qu'est ce que vous voulez, hein... Ivan, c'est quand même un des sujets de conversation préférés de Feliks, du moins quand il est en mode langue de pute.
C'était d'ailleurs un mode qui allait et venait de façon aléatoire, et pour le moment, il y avait autre chose qui l'intéressait davantage que de déblatérer sur le compte de l'indispensable Russie - keskonseferaitchiersanslui.

"Okay. Bon. Tout va bien."

Il passa une main dans ses cheveux d'un geste complètement dégoulinant de frime poussée à l'extrême. Méwi Feliks t'as la classe. Et seulement après, repassa son bras autour des épaules de Raivis en lançant d'un ton super-enjoué.

"Alàlà. Sans DÉCONNER, quoi. Comme tu m'éclates totalement. T'sais que je t'adore, genre ? Mais pourquoiiiiiiiii, mon p'tit Raivis, que tu viens pas me voir de temps en temps ? J'me doute carrément que t'as, genre, un planning trop graaaave serré et qu'c'est la loose totale de trouver le temps entre deux gros bouquins chiants, mais, maptiteloutre, ça se fait trop PAS de délaisser ses AMIS, style ! C'est CARRÉMENT pas cool !"

Carrément pas, quoi.

"GENRE... Mais t'sais qu'on peut trop grave délirer toizémoi ? J'veux dire, maintenant t'es totalement un grand, nah, style t'sors tout seul sans tes frangins. Comment que je suis carrément fier de toi à mort."

'Genre', il y en a qui ont de la chance, parfois, que Raivis soit aussi timide. Parce que sinon, je pense qu'il y aurait des baffes de perdu. Enfin, je dis ça, mais bon, je ne sais pas si le petit aurait gifler si il aurait été moins réservé, je ne suis pas dans sa tête. La mauvaise imitation à la 'Raivisienne~' de Feliks ne fait rire que lui.... D'ailleurs, il devrait arrêter, il risque d'en mourir...

"Okay. Bon. Tout va bien."

Oui, tout va bien. Mais bon, tout irai mieux si tu évitais d'étouffer le petit bout de chou avec ton bras... Oui, je parle de celui qui est autour de ses épaules. Rend moi Raivis indemne, se serait gentil. Merci, cordialement... Ah euh non, ce n'est pas ici qu'il faut le mettre ça.

Enfin... Bref.

"Alàlà. Sans DÉCONNER, quoi. Comme tu m'éclates totalement. T'sais que je t'adore, genre ? Mais pourquoiiiiiiiii, mon p'tit Raivis, que tu viens pas me voir de temps en temps ? J'me doute carrément que t'as, genre, un planning trop graaaave serré et qu'c'est la loose totale de trouver le temps entre deux gros bouquins chiants, mais, maptiteloutre, ça se fait trop PAS de délaisser ses AMIS, style ! C'est CARRÉMENT pas cool !"

Oulaaaa..... Grand moment d'attention pour comprendre ce que disait le polonais aussi exciter qu'une puce... Petit moment pour traduire le 'Feliksien' en une langue compréhensible, un autre moment pour plaindre Toris. Comme il fait pour le supporter, sérieux ? Dé... EH ! Les livres de Raivis ne sont pas 'chiants', ce n'est pas mon problème si tu n'aimes pas les livres, mais respectent les.... Mon avis n'a pas beaucoup d'intérêt, n'est-ce pas ?

« Dé-désolé.... »

Je vous ai déjà dis que s'excuser était un automatisme chez Raivis ? ….. Non ? Bah maintenant oui.

"GENRE... Mais t'sais qu'on peut trop grave délirer toizémoi ? J'veux dire, maintenant t'es totalement un grand, nah, style t'sors tout seul sans tes frangins. Comment que je suis carrément fier de toi à mort."

'GENRE', tu viens de le remarquer.... ? Il n'y a pas Eduard / Toris / les deux frangins -barrez l'option ou les options inutiles- dans le coin.
Le petit Letton tenta de faire un petit sourire. Devait-il craindre quelque chose ? Après tout, il y a Pologne à côté de lui qui le tiens, toujours, de la même manière et... Tout le monde sait que le polonais a des idées plutôt bizarres. Ceux-ci d'ailleurs, arrive toujours comme ça, comme les problèmes...
Il ne sait -encore- rien passer et ... Raivis regrette déjà de ne pas être resté avec Eduard pour déjeuner.

Spoiler:

Mais non, mais non, pas d'panique, les enfants. Pologne est plus coriace que ça, tout de même. Un peu comme le petit bouchon aux grands yeux, qui résistera certainement fort aisément à l'étouffage. Mékilémignon ce p'tit.
Par contre, il a en effet l'option excuses de série, le bouchon en question. Sauf que là, le Désolé - Feliks aurait certainement dit 'le dé-désolé', mais le comique de répétition ne lui fait pas peur, c'est un warrior de la vanne à deux balles, Feliks, merdkoi - bref, sauf que là, le 'désolé en question ne fit que le conforter dans son trip. Non, vraiment, le courant, tu vois, il passe à merveille avec Raivis. Continue donc à t'excuser, mon bonhomme, vu que l'autre engin le prendra immanquablement pour une approbation, ça peut aller loin, c't'affaire là, j'te le dis moi.

Alors...
'GENRE', tu viens de le remarquer.... ? Il n'y a pas Eduard / Toris / les deux frangins -barrez l'option ou les options inutiles- dans le coin.
Genre, ouais, il venait de remarquer. Non vraiment. Il a rien contre Estonie, il adore Lituanie, mais alors, de son point de vue, l'un comme l'autre peuvent atteindre facilement des sommets quand il s'agit de PAS délirer. Et qui dit 'pas de trouble-fête' dit... bah, dit 'fête'. Et justement... Avec Lettonie, y a de quoi faire. Et d'ailleurs... pompompom... Yop là....
Bon...
Ça vient, oui ??

"GOSH !! SANS DÉC ! Mais j'viens d'avoir, genre, une idée totalement trop cool !"

ITTC en vue. Eh bien, tout de même. C'est pas trop tôt...

"Waouh, mais comment j'arrive encore trop grave à m'étonner des fois, c'est l'hallu totale. J'suis style un génie, j'te jure..."

D'accord. Déjà là, il y a de quoi hausser un sourcil circonspect, Joe. Non, vraiment. Les idées de Pologne, c'est du bonheur en boîte, okay, mais généralement, les stocks de boîtes sont au rayon surgelés. Surtout quand c'est une ITTC et que ça concerne notre petit letton-chou... on sent le glaçage arriver pour l'adorable petit poussin.

"Raivis, mon pote, j'crois que là, c'est carrément du grand art. J'vais grave t'épurer à mort de c'te vieux flip totalement pas cool. NAN ! Mieux ! En vrai, je vais, genre, faire de toi UN GARS COOL."

Fuis, Raivis. Fuis. Ou plutôt, fais le dès qu'il aura lâché ta petite épaule trognonne. Oui, bon, le souci, c'est qu'il n'est pas près de le faire... D'ailleurs, regardez avec quelle maestria il le tient toujours alors qu'il se lève d'un bond de ce banc. Bah oui, dis, y a pas moyen de faire quoi que ce soit en plein milieu du parc, et encore moins 'faire de Raivis-mon-pote un gars cool'. D'ailleurs, nous pouvons ici nous interroger sur le concept de coolitude.

"LA CLASSE QUOI. Allez, amène toi maptiteloutre, ça va être totalement démentiel !!! T'as cinq minutes devant toi, nah ?"

Et le voilà qui entraîne notre petite lout... euh, notre petit bonhomme vers les bâtiments... que ce dernier soit d'accord ou pas, d'ailleurs. Après tout, une ITTC, ça ne souffre pas de retard.

J'en suis à me demander si Feliks est bien normal parfois. Non, franchement, une personne dite 'normal' prendrait-il un 'désolé' pour une approbation ? Je me le demande...

Ça relève du 'miracle', non, que Raivis ne soit pas avec les frangins ? Puis, en même temps... Vu tes idées bizarres Feliks, il est normal que les deux autres soit des 'trouble-fête' comme tu dis. Raivis est trop timide pour dire ce qu'il pense... Est-ce pour ça que tu essayes de me le kidnapper ?!

"GOSH !! SANS DÉC ! Mais j'viens d'avoir, genre, une idée totalement trop cool ! Waouh, mais comment j'arrive encore trop grave à m'étonner des fois, c'est l'hallu totale. J'suis style un génie, j'te jure..."

Euh.... Oui ?
...
Il s'y croit trop, le Pologne là. Non mais calmez-vous, monsieur le Polonais, si vous continuez, votre égo va exploser... Ou pas. Non, Feliks ne doit pas avoir un égo aussi gros que celui de Prussou... Je n'espère pas.

"Raivis, mon pote, j'crois que là, c'est carrément du grand art. J'vais grave t'épurer à mort de c'te vieux flip totalement pas cool. NAN ! Mieux ! En vrai, je vais, genre, faire de toi UN GARS COOL."
Fuir... Fuir... Ouai ouai, Vas-y, essaye un peu pour voir, Toi ! Raivis, il est un peu beaucoup coincé par le bras de Feliks en ce moment, et vu comme il vient de se lever sans lâcher le Letton -obligeant au passage celui-ci à se lever- ça m'étonnerai que Pologne va le lâcher jusqu'à ladite 'Idée Totalement Trop Cool' soit 'ITTC'. Inutile d'essayer de t'enlever Raivis, le Polonais a pratiquement planté les racines de son bras autour de ton cou... c'est le cas de le dire.

"LA CLASSE QUOI. Allez, amène toi maptiteloutre, ça va être totalement démentiel !!! T'as cinq minutes devant toi, nah ?"

« Que... »

A même pas le temps de dire quoique se soit qu'il se fait emporter vers les bâtiments.... Si jamais Eduard va à sa recherche, il va paniquer.... C'est sur... Oh mon dieu, mais qu'est-ce que Pologne veut lui faire ?!

Spoiler: